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    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

     

    Les cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon se sont déroulées en présence de Georges Képénékian, Maire de Lyon, Jean-Dominique Durand, Adjoint au Maire délégué au Patrimoine, à la Mémoire, aux Anciens combattants et aux Cultes, et le Comité de liaison des Associations... 

     * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

    (Photo journal "Le Progrès" )

    La cérémonie de commémoration de la libération de Lyon a débuté par un dépôt de gerbes devant le Veilleur de pierre et s’est poursuivie avec un défilé jusqu’à l’Hôtel de Ville.

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

    (Photo journal "Le Progrès" )

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon  

     (Photo journal "Le Progrès" )

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

    (Photo journal "Le Progrès" )

     

    La libération

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération.

    Jean de Lattre de Tassigny

    Le Général de Lattre veut absolument que Lyon, capitale de la Résistance, accueille l’Armée française avant l’Armée américaine ; il confie cette mission au général BROSSET avec la perspective d’entrer dans Lyon le 3 septembre. Un groupement est mis sur pied : 1 er Régiment de Fusiliers Marins, 8 ème R.C.A, 2 bataillons d’infanterie, le 22ème Bataillon de Marche Nord-Africain, le 1 er Bataillon de Légion Etrangère, 2 Groupes du Régiment d’Artillerie et un Bataillon de Choc affecté en renfort.

     

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon


    Le 3 septembre au matin, Brosset franchit le Pont de l’Homme de la Roche, laissé intact par les Allemands dans la précipitation de leur fuite nocturne. A midi, il devient commandant d’armes et s’attache à remettre de l’ordre dans la capitale des gaules. Dans les jours qui suivent, les Maquis du Vercors (11ème Cuirassiers) et de Chambarand, rejoignent la 1 ère D.F

     

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération.

    le général Diego Brosset

    En 1944, le 3 septembre,  le général Diego Brosset commandant la 1ère DFL (originaire de Rillieux-la-Pape) avec les Fusiliers Marins du 1er RFM entraient dans la capitale des Gaules, ovationnés par la foule... Le fougueux général Diego Brosset grimpait l'escalier de l'Hotel de Ville... au volant de sa Jeep !
               

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération.

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération.

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération.

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération. 

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération.

    Quelques jours plus tard, le 14 septembre, le genéral de Gaulle honorait à Lyon de nombreux FFI du Maquis isérois Chambarand qui intégraient ensuite la DFL (Bataillon Chambarand du BM 4) ainsi que les maquisards du 11e Cuirassiers Vercors (qui deviennent soutiens portés du 1er RFM) , pour poursuivre les combats avec les FFL en Bourgogne et dans les Vosges...
     

    * 3 septembre 2018 : Lyon a commémoré sa Libération.

    Préparation pour la poursuite des combats  

     

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

    Après les bombardement du 26 mai 1944

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

    Lyon - 1944 - la libération de Lyon par Marc Monkovicki

     

    Médaillée de la Résistance avec Rosette par décret du 26 Novembre 1946, et de la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur avec attribution de la Croix de Guerre avec palme le 28 février 1949, la ville de Lyon est un haut lieu de la Résistance.

     

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

     

     

    Fondation B.M.24 Obenheim    

    * 3 septembre 2018 - cérémonies commémoratives du 74e anniversaire de la Libération de Lyon

      

     

     

     


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  • *  Obenheim -Transmission de fanion  entre Chasseurs Alpins
            *  Obenheim -Transmission de fanion  entre Chasseurs Alpins


    (Article et photos :Journal DNA)


    Le vendredi 31 août, a eu lieu devant le monument aux morts d'Obenheim, la remise du fanion de l'amicale des anciens combattants du 2ème bataillon territorial des Chasseurs Alpins au 7ème Bataillon de Chasseurs Alpins de Varces - Allières et Risset par le vice président des Diables Bleus de Sélestat Roger Furst, Obenheimois. Le Fanion avait été retrouvé en 2010 dans un grenier en Allemagne et remis à la France à Gerstheim au milieu du pont sur le Rhin en 2017. 

     

    *  Obenheim -Transmission de fanion  entre Chasseurs Alpins

     

    C'est en présence de Florence Zeyssolff et Bruno Heilbronn, adjoints au maire - Antoine Herth député - Claude Wittmar, président des Diables Bleus de Sélestat - Patrick Nicolle, trompette Major que Le fanion de l’Amicale des Anciens combattants du 2e bataillon territorial de chasseurs alpins (BTCA) a été remis au 7e BCA de Varces - Allières et Risset.

     

    *  Obenheim -Transmission de fanion  entre Chasseurs Alpins

    *  Obenheim -Transmission de fanion  entre Chasseurs Alpins

    Le fanion a été officiellement remis au colonel Nicolas James,
    chef de corps du 7e BCA de Varces.    Lien vers le site

     

     

    *  Obenheim -Transmission de fanion  entre Chasseurs Alpins

    Ce fanion – presque centenaire, puisque créée en 1920 – décoré de la Croix de Guerre 1914-1918 avec trois citations, avait disparu depuis la Deuxième Guerre mondiale. Il a été retrouvé l’année dernière grâce aux relations que l'Amicale des Diables bleus de Sélestat entretient avec la Gebirgstruppe-Freiburg und Schwarzwald Süd, leurs homologues d’outre-Rhin.

    « Durant dix ans, Sven Rothmann, collectionneur et antiquaire, l’a conservé chez lui »

    C’est lors d’une rencontre transfrontalière entre amicalistes que l’histoire de la disparition de ce fameux fanion a été évoquée. Un ancien chasseur allemand avait connaissance de quelqu’un qui en conservait un. Le président de la section badoise Manfred Löffler a donc pris contact avec le détenteur.

    Il s’est avéré que le fanion en question était bel et bien l’original de l’amicale du 2e BTCA. « Jean-François Schmitt, responsable de l’amicale nationale du 7e BCA, a pris contact avec le conservateur du Musée de Vincennes qui a envoyé une documentation complète sur le sujet, confirmant que c’était bien le bon fanion. Nous l’avons récupéré en très bon état », raconte Roger Furst, vice-président de l’amicale des Diables Bleus de Sélestat, une structure présidée par Claude Wittmar.

    Durant dix ans, Sven Rothmann, collectionneur et antiquaire, l’a conservé chez lui, dans la région de la Forêt-Noire. Il l’a trouvé alors qu’il aidait un copain à débarrasser le grenier d’une maison suite au décès du propriétaire. « C’est un grand honneur pour nous de l’avoir récupéré. C’est un souvenir des anciens. Durant la guerre de 14-18, les chasseurs étaient dans les Vosges. Ils ont ensuite été déplacés dans le secteur de Verdun, lorsque le front s’est stabilisé et que la guerre des tranchées a débuté. »

    « Le colonel Nicolas James va ramener le fanion et le placer dans la salle d’honneur »
    Lors de la cérémonie du 8-Mai, l’année dernière, une délégation de la Gebirgstruppe-Freiburg und Schwarzwald Süd a officiellement remis la précieuse relique aux Diables Bleus, sur le pont de Gerstheim, à la frontière entre la France et l’Allemagne. Fin août, elle sera officiellement remise à l’armée française. À cette occasion, « le fanion du 7e BCA de Varces sera présenté avec sa garde. Il y aura aussi une section de chasseurs, soit une vingtaine de soldats », confie Roger Furst. S’y ajoutent les officiels, les représentants des différentes amicales françaises et allemandes. « Le colonel Nicolas James va ramener le fanion et le placer dans la salle d’honneur du bataillon. Peut-être qu’un jour il sera remis au musée des chasseurs à Vincennes. »

     

    Fondation B.M.24 Obenheim    

    *  Obenheim -Transmission de fanion  entre Chasseurs Alpins

     

     

     


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  • Léo Barbier, aviateur de la Liberté 
    Forces aériennes françaises libres (FAFL) en  Angleterre
     
     
    * Stèles en mémoire des victimes de deux crash d’avions à Ormersviller (Moselle) en 1940 et 1943
     
     
     l’adjudant Léo Barbier (Photo internet) 

     
    Le 24 mars 1940, l’avion Potez 637, piloté par l’adjudant Léo Barbier, est allé en mission de reconnaissance à Kaiserslautern. Il  a été attaqué par 4 avions allemands ME 109 et a été abattu sur la ban d’Ormersviller (Moselle) au lieu-dit Weltersboesch à 50 m environ de la borne des Suédois. Il était accompagné par le sous-lieutenant Elie Brugerolles, mortellement blessé et le sergent Serge Dumas, blessé au poumon droit. Ce dernier meurt le 25 mars 1940 à Saint-Louis-lès-Bitche.

    Ces photos sont issues du site
     "Aérostèles" Lieux de mémoire aéronautique
    et sont la propriété de leur auteur Pierre Henuis. 

    * Stèles en mémoire des victimes de deux crash d’avions à Ormersviller (Moselle) en 1940 et 1943

    (Photo : Pierre Henuis) 
     

    * Stèles en mémoire des victimes de deux crash d’avions à Ormersviller (Moselle) en 1940 et 1943

    (Photo : Pierre Henuis) 
     

    Léo Barbier, également blessé,  sera  récupéré par une patrouille française. Après sa guérison, il est affecté le 21 juin 1940 à l’escadrille de chasse. Le 27 octobre 1942, il rejoint les Forces aériennes françaises libres (FAFL) en  Angleterre, puis rejointe le 9 juin 1943 le fameux escadron Normandie-Niemen. C’est le célèbre groupe de pilotes français qui a combattu sur le front russe. Le 15 octobre 1942, pilotant un Yakovlev Yak-1, son avion a été abattu près Smolensk où un mémorial a été  érigé pour lui rendre hommage. Depuis 1953, Il repose à Charmes la Grande (Haute-Marne)
     
     

    * Stèles en mémoire des victimes de deux crash d’avions à Ormersviller (Moselle) en 1940 et 1943

     (Photo internet) 


    Biographie de Léo Barbier


    (PILOTES et AS Français : 1939 - 45)


    • Chevalier de la Légion d'Honneur
    • Médaille Militaire 
    • Croix de Guerre 1939-45
    • Médaille des Blessés
    • Ordre de la Guerre pour le Salut de la Patrie (URSS)

    ***

    John Charles Prichard

     

    Le 6 septembre 1943 à 19 h 30 John Charles Prichard part  en mission, Il pilote un Landcaster III. C’est  une force de 605 avions dont 299 Lancaster, 195 Halifaxes et 111 Styirling. Elle  a pour  mission de bombarder  Mannheim et Ludwigshafen. John Charles Prichard, pilote un Landcaster III, c’est vingtième missions. Il est accompagné de six hommes d’équipage, dont cinq l’ont suivi dans 17 missions.  Au retour, un chasseur allemand l’a attaqué et a touché l’aile tribord. Prichard donne l’ordre de l’abandonner. Le bombardier, le mécanicien et le navigateur sautent par l’avant. Il est persuadé que l’opérateur radio et le mitrailleur de la tourelle ont sauté et il saute à son tour pensant que tout le monde a quitté l’avion. Il apprend plus tard que les deux derniers se sont écrasés avec l’avion sur le ban d’Ormersviller au lieu-dit Oderscheid  entre l’ancien château d’eau et la mardelle.

     

    * Stèles en mémoire des victimes de deux crash d’avions à Ormersviller (Moselle) en 1940 et 1943

    (Photo Joseph Antoine Sprunck)

     

    John Charles Prichard, ayant fracturé la colonne vertébrale, a été emmené à l’hôpital SS de Hombourg, et le 19 septembre, il rejoint le Stalag de Sagan en Pologne et le 28 janvier dans celui de Luckenwalde au sud de Berlin. Le 22 avril 1945 il sera libéré par les Russes et le 10 mai, il est de retour en Angleterre et le 9 septembre 1945, après trois ans d’absence, il retrouve l’Australie.

    (Article de Mr 
    Joseph Antoine Sprunck, paru dans le Républicain Lorrain du dimanche 2 septembre 2018)

    Reportage d'archive des forces alliées

     


    Fondation B.M.24 Obenheim       

    * Stèles en mémoire des victimes de deux crash d’avions à Ormersviller (Moselle) en 1940 et 1943

     

     

     

     

     


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    Madame Christine Moutte a le regret de vous informer du décès de son grand-oncle, Noël BERRIOT,  dans sa 96ème année le 1er septembre 2018 à Rethel. Il sera inhumé le 5 septembre 2018 à 10h à Avançon (08).

    La Fondation BM24-Obenheim présente toutes ses condoléances à la famille de Noël BERRIOT.

     

    *

    Noël BERRIOT est né le 22 décembre 1923 à Ramecourt dans l'Aisne
     
    Il était entré aux FFI le 15 mai 1944 à Ramecourt à l'âge de 20 ans.
     

    *

    Noël Berriot en 1941

     
    Il s'engage ensuite comme Volontaire à la 1ère DFL, à la Compagnie d'Accompagnement du BM 5 le 23 Octobre 1944 à Laon (soldat 2e classe).
     
     
    Noël BERRIOT est décoré de :
     
    - la Croix du Combattant,
    - la Croix du Combattant Volontaire de la guerre 1939/1945,
    - la médaille de la Reconnaissance de la Nation avec barrette.
     
    La citation pour les combats de l'Authion signée du général Garbay
     

    * Disparition de Noël BERIOT, Ancien du BM 5 de la 1ère DFL

     
     
     
     

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  • Qui sont les porte-drapeaux ?

     

     

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    (Photo internet) 


    Site "Office national des anciens combattants et victimes de guerre"

     

    Les porte-drapeaux sont des personnes, anciens combattants ou non, qui assurent bénévolement lors des manifestations patriotiques le service du port du drapeau tricolore de leur régiment ou de leur association. Cette mission est hautement symbolique puisque le porte-drapeau rend hommage, au nom de la Nation française, aux combattants et aux disparus. Le porte-drapeau se doit donc d'exercer sa fonction avec dignité et constance.

     

    L’ONACVG accorde une attention toute particulière à la présence des porte-drapeaux lors des journées nationales commémoratives et des cérémonies locales. L'Office gère l’attribution d’un diplôme d’honneur créé en 1961, après avis des commissions départementales et d’une commission nationale. Il veille également à favoriser l’achat et le renouvellement des drapeaux associatifs grâce à l’octroi de subventions.

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

     

    L’engagement de l’ONACVG pour la pérennisation de la fonction de porte-drapeau passe par la mobilisation des nouvelles générations, c’est pourquoi l'Office invite, chaque année pour le 14 juillet, les plus jeunes porte-drapeaux de France à Paris. Pendant toute une journée, ces jeunes, originaires des 22 régions françaises et âgés de 8 à 25 ans, sont mis à l’honneur. Ils assistent au défilé sur les Champs-Élysées, visitent la Capitale l'après-midi, et participent à la Garden Party du président de la République et participent à la cérémonie de ravivage de la Flamme du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe.

    Conditions d’attribution du diplôme d’honneur de porte-drapeau

    Créé par arrêté ministériel du 26 juillet 1961, le diplôme d’honneur de porte-drapeau est refondé par l’arrêté du 13 octobre 2006, publié au journal officiel du 20 octobre 2006 (annexe 1). A - Les conditions d’obtention des diplômes 1. Les associations pouvant présenter un candidat aux diplômes 1.1. Les associations dont les demandes sont examinées directement en commission nationale ou départementale L’arrêté mentionne précisément : - les associations d’anciens combattants et de victimes de guerre, - les associations de titulaires de distinctions honorifiques françaises, - les associations de mémoire combattante, - les associations d’anciens militaires (de réserve ou à la retraite), - les associations de sapeurs-pompiers, - les associations de policiers et par extension les associations de garde champêtre communaux et intercommunaux, - les associations participant à la protection civile (sauveteurs secouristes, hospitaliers, Croix Rouge). Plus généralement, les candidatures des porte-drapeaux présentées par des communes et des associations œuvrant pour la sauvegarde du lien entre le monde combattant et la nation sont recevables.... LIEN

     

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

     (Photos du blog "Sur les chemins de la 1ère DFL - B.M.24 Obenheim)


    Mobilisation des nouvelles générations.

    Article "Républicain Lorrain"

     

    Il y a douze ans, André Gily, président d’honneur de la Fédération des anciens combattants André-Maginot, créait la première école de porte-drapeaux. Aujourd’hui, il lance la deuxième promo 

     

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

    (Photo Républicain Lorrain)


    En 2002, à l’heure de la retraite, il crée une section d’anciens combattants Fédération André-Maginot à Saint-Avold (Moselle) et réfléchit à la meilleure manière de sensibiliser la jeune génération au devoir de mémoire. Alors, il fonde l’école de jeunes porte-drapeaux, la seule en France. Aujourd’hui, une dizaine d’ados se retrouvent régulièrement autour du septuagénaire, ravis de pouvoir assurer la relève des porte-drapeaux, généralement d’anciens combattants fatigués par le poids des ans et du devoir.  LIEN

     

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

     

    (Photo Républicain Lorrain)

     

    Xavier Djelal devient le leader de la deuxième promotion des porte-drapeaux de la Fédération André-Maginot, section de Saint-Avold.  Photo Thierry SANCHIS


    Promotion Nelly Kopp résistante lorraine

     

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

     

    (Photo journal La République)

     

    Qui était Nelly Kopp

    Ancienne Résitante, Nelly Kopp est décédée à l’âge de 93 ans. « Elle restera comme une combattante de l’ombre héroïque et une valeureuse patriote, qui continua après guerre son engagement dans les rangs de la Croix Rouge », dit Pierre Naura, directeur départemenal de l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.

    Il faut dire que la vie de Nelly Kopp n’a pas été ordinaire. Engagée à 18 ans dans la Résistance, elle reçu des dizaines de médailles et de récompenses pour son dévouement. Pendant la guerre, elle transmet des documents stratégiques et aide des prisonniers à venir. « Une fois par mois, j’allais baliser le terrain pour un avion qui venait d’Angleterre. J’ai même aidé un couple de bateliers belges en les cachant dans le fond d’une péniche », nous disait-elle il y a deux ans. Encore très alerte, elle nous confiait « vivre de souvenirs » et n’avoir « rien oublié. Je n’ai jamais eu de doutes, ce que je faisais était juste ».

     

     Fondation B.M. 24 Obenheim  

    * Petit intermède estival - Honneur aux porte-drapeau

     

     

     


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