• Sortie du  Film  "La Promesse de l'aube" tiré d'une œuvre de Romain Gary.

    Qui était Romain Gary ?

     Romain Gary, compagnon de la Libération,  écrivain français de la seconde moitié du 20ème siècle, il est également connu pour la mystification littéraire qui le conduisit, dans les années 1970, à signer plusieurs romans sous le nom d'emprunt d’Émile Ajar, en les faisant passer pour l'œuvre d'un tiers. Il est ainsi le seul romancier à avoir reçu le prix Goncourt à deux reprises, sous deux pseudonymes.

    *  "La Promesse de l'aube", nouvelle adaptation du roman autobiographique éponyme de Romain Gary

    Portrait d'archives daté de novembre 1945. (Photo internet)

    *  "La Promesse de l'aube", nouvelle adaptation du roman autobiographique éponyme de Romain Gary

    (Photo Ordre de la Libération)

    Texte Ordre de la Libération

    Roman Kacew est né le 8 mai 1914 dans la communauté juive de Wilno (Vilnius) en Lituanie, alors sous domination russe. Son père était négociant en fourrure et sa mère modiste.

    En 1915, alors que son père est mobilisé dans l'armée russe, il est déporté avec sa mère vers le centre de la Russie en tant que juif des pays baltes que les Russes soupçonnent de faire de l'espionnage au profit des Allemands.

    En 1921, à l'âge de sept ans, il retourne à Wilno, devenu territoire polonais depuis la guerre russo-polonaise de 1920 où il vit jusqu'en 1927.

    Ses parents se séparent et, avec sa mère, il gagne Varsovie où il fréquente l'école polonaise et prend des cours particuliers de français pendant deux ans.

    En 1929, Roman et sa mère émigrent en France et s'établissent à Nice. Roman poursuit ses études secondaires au lycée avant d'entamer des études de droit à la faculté d'Aix-en-Provence puis à Paris où il obtient une licence.

    Naturalisé français en 1935, il est appelé au service militaire pour servir dans l'aviation. Incorporé à Salon-de-Provence en novembre 1938, il est élève observateur à l'Ecole de l'Air d'Avord. Breveté mitrailleur le 1er avril 1939, parmi trois cents élèves, il est le seul, en raison de ses origines étrangères, à ne pas être nommé officier.

    En juin 1940, le sergent Kacew se trouve à Bordeaux-Mérignac et décide de rallier les Forces françaises libres. Il s'évade de France par avion, atterrit à Alger, séjourne à Meknès et Casablanca le temps de trouver un cargo britannique qui l'emmène à Gibraltar ; deux semaines plus tard, le 22 juillet 1940, il débarque à Glasgow.

    Dès son arrivée, il demande à servir dans une unité combattante sous le nom de Romain Gary et est promu au grade d'adjudant en septembre 1940. Affecté à l'Escadrille de bombardement Topic, il quitte l'Angleterre pour Takoradi en Gold Coast en octobre 1940. Cette formation est rattachée aux Forces aériennes équatoriales françaises libres et devient, le 24 décembre 1940, avec l'escadrille "Menace", le Groupe réservé de bombardement n°1 (GRB1), sous les ordres du commandant Jean Astier de Villatte.

    Avec son unité, Romain Gary sert en Libye, à Koufra notamment en février 1941, puis en Abyssinie et en Syrie en juin-juillet 1941. Entre-temps, en avril 1941, il a été breveté observateur en avion et nommé sous-lieutenant. Ayant contracté le typhus et presque mourant, il reste six mois à l'hôpital.

    Rétabli, il rejoint l'escadrille de surveillance côtière en Palestine et se distingue dans l'attaque d'un sous-marin italien au large des côtes palestiniennes. Sur la base de Rayack (Liban), il est officier de ravitaillement en matériel de février à juin 1942 puis officier de liaison à l'Etat-major des FAFL du Moyen-Orient avant de rejoindre en août 1942, l'escadrille Nancy du Groupe de bombardement Lorraine.

    *  "La Promesse de l'aube", nouvelle adaptation du roman autobiographique éponyme de Romain Gary

    Le "Lorraine" en mission
    (Photo Ordre de la Libération)

     

    Promu lieutenant en décembre 1942, il est ramené avec son unité par voie maritime en Grande-Bretagne où il débarque en janvier 1943 pour servir sur le théâtre d'opérations de l'Ouest. Le groupe est rééquipé et réentraîné dans les centres d'entraînement de la RAF A partir d'octobre 1943, l'action de bombardement du Lorraine est principalement dirigée contre les sites de V1; les Bostons qui équipent désormais le Lorraine volent rassemblés par groupe de six, en rase-mottes, accompagnés par des Spitfire de protection ; c'est dans ces conditions que le lieutenant observateur Gary se distingue particulièrement le 25 janvier 1944 quand, leader d'une formation de six appareils, il est blessé par un éclat d'obus en même temps que son coéquipier pilote Arnaud Langer lui-même gravement touché aux yeux. Malgré sa blessure, il guide son coéquipier et l'ensemble de sa formation avec suffisamment de maîtrise pour réussir un bombardement très précis et pour ramener l'escadrille à la base.

    Temporairement inapte au combat, le lieutenant Gary est affecté à l'Etat-major des Forces aériennes françaises à Londres à partir de mai 1944. Capitaine en mars 1945, il a effectué sur le front de l'Ouest plus de 25 missions offensives totalisant plus de 65 heures de vol de guerre.

    Après sa démobilisation, en décembre 1945, il entre dans la carrière diplomatique en même temps qu'il publie son premier roman : Education européenne. Secrétaire d'ambassade, il exerce ses fonctions en Bulgarie et en Suisse.

    En 1952, il est secrétaire à la Délégation française auprès des Nations Unies à New-York, puis à Londres en 1955.

    En 1956, il est nommé Consul général de France à Los Angeles et reçoit le Prix Goncourt pour Les Racines du ciel.

    En 1967, après quelques années de mise en disponibilité passées à écrire et à réaliser deux films, il occupe le poste de chargé de mission au Ministère de l'Information pendant dix-huit mois.

    En 1975, sous le pseudonyme d'Emile Ajar, il publie La Vie devant soi, également récompensé par le Prix Goncourt, et dont on ne connaîtra réellement le nom de l'auteur qu'après le suicide de Romain Gary qui met fin à ses jours le 2 décembre 1980. Ses obsèques ont été célébrées à l'Eglise Saint-Louis des Invalides à Paris. Selon sa volonté, ses cendres ont été dispersées au large de Menton.

    *  "La Promesse de l'aube", nouvelle adaptation du roman autobiographique éponyme de Romain Gary


    • Commandeur de la Légion d'Honneur
    • Compagnon de la Libération - décret du 20 novembre 1944
    • Croix de Guerre 39/45 (2 citations)
    • Médaille Coloniale avec agrafe « Koufra-Erythrée » 
    • Médaille des Blessés

    Sources :
    - Archives de l'Ordre de la Libération

     

    Fondation B.M.24 Obenheim    

    *  "La Promesse de l'aube", nouvelle adaptation du roman autobiographique éponyme de Romain Gary


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  • Samedi 25 novembre 2017

    La commune de Langatte (Moselle) vient d’inaugurer sa borne du Serment de Koufra.
    Elle marque le passage dans le village de la 2e Division blindée en novembre 1944, une étape sur la route de la libération de Strasbourg.

     

    * Langatte (Moselle) inaugure sa borne du Serment de Koufra

    (Photo Républicain Lorrain)


    Inaugurée avec faste par Christine Herzog, sénatrice de la Moselle ; Fabien Di Filippo, député ; Magali Martin, sous-préfète de Sarrebourg ; Bernard Simon maire de la localité et conseiller départemental ; le colonel Norbert Zorn représentant l’amicale des Anciens de la 2e DB ; la borne a été dévoilée sous les applaudissements de la foule nombreuse et sous les regards des porte-drapeaux des associations patriotiques, leurs présidents et les délégations militaires, civiles et administratives.

     

    * Langatte (Moselle) inaugure sa borne du Serment de Koufra 

    (Photo Républicain Lorrain)

     

    Les acteurs de la libération de la France ont laissé des traces de leur passage. Quelques personnes ont voulu matérialiser cela par des statues, des plaques mais aussi des bornes. Ces bornes jalonnent les routes empruntées par la 2e division blindée (DB) pour chasser l’occupant allemand.

    Ghyslène Lebarbenchon, maire de Saint-Martin-de-Varreville, a concrétisé ce projet, mettant ainsi en exergue le devoir de mémoire de chaque descendant des anciens de la 2e DB.

    La première borne a été installée en 2004 sur la plage de Utah Beach en Normandie, suivie par celle d’Andelot (Haute-Marne) en 2006. Ce n’est qu’en 2010 que la voie de la 2e DB a pris son importance, avec pour objectif avoué de mettre en place ces bornes dans toutes les communes traversées par la 2e DB (soit 109 au total). En Moselle-Sud, après Sarrebourg, Langatte a désormais sa borne, rue de La Libération.

     Lien vers l'article du journal

    Le Républicain Lorrain

     

    VOIE DE LA 2ème DB & BORNES DU SERMENT DE KOUFRA

     

    * Langatte (Moselle) inaugure sa borne du Serment de Koufra

     

    * Langatte (Moselle) inaugure sa borne du Serment de Koufra

     

    Fondation B.M.24 Obenheim   

    * Langatte (Moselle) inaugure sa borne du Serment de Koufra

     


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  • Le 18 et 19 novembre 2017

     

     Le Sherman « Cherbourg » ...

     

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet(Strasbourg photo)

    Ce char rend hommage à Albert Zimmer originaire de La Wantzenau, combattant à la 2ème DB de la division Leclerc. Le Maréchal des Logis-Chef fut tué par un obus allemand à une centaine de mètres du Rhin le 23 novembre 1944 aux commandes du « Cherbourg ».  Leclerc et ses hommes

     

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôts de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet Commémoration à Obenheim et Sigolsheim
    (Photo fondation Leclerc)


    Ce char, le « Cherbourg », était un M4A3 à canon de 105mm. Lors de sa destruction il a été détourellé par l’obus allemand.
    Le blindé qui se trouve aujourd’hui route du Rhin n’est donc pas le « Cherbourg » original à côté duquel un autre char de la Divison Leclerc, le « Meknes » a été détruit.
    Il s’agit précisément d’un Sherman M4A3 à canon de 75 mm baptisé  » Cherbourg  » qui rappelle cet épisode de la libération de Strasbourg à ceux qui s’interrogent de sa présence et prennent le temps de s’y arrêter.

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

     Le Sherman « Cherbourg » détourellé
    ( Photo  materielsterrestres39-45.fr)

     

     

    (Crédit photos : Blandine Bongrand Saint Hillier)

     

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

     



    ... La plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    Jean-Baptiste Houchet

    (Photo Ordre de la Libération)

     

    Fils d'un ouvrier de l'arsenal de Cherbourg, il entre dans l'Ordre des Pères du Saint-Esprit et part comme missionnaire au Congo. Il rallie la France Libre dès juillet 1940 et est affecté comme aumônier au 1erBataillon de Marche. Il prend part aux opérations du Gabon (nov.). Avec son unité, il rejoint la Syrie où il se signale aux durs combats de Damas (juin 1941). De retour à sa mission au Congo, il intègre l'unité du commandant Massu et participe à toutes les campagnes de la Force L et de la 2e DB comme aumônier divisionnaire. Au mépris du danger, il n'hésite pas à se porter en avant pour donner aux blessés et mourants le secours de la religion. Il tombe au pont de Kehl lors de la prise de Strasbourg le 23 novembre 1944. Il est fait Compagnon de la Libération le 24 mars 1945.

     
    Christine Levisse-Touze et Colonel Maurice Courdesses

     

    (Crédit photos : Blandine Bongrand Saint Hillier)

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

     

     

    Messe à la Cathédrale avec l'Archevêque de Strasbourg,
    ancien Évêque aux Armées

     

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

     

    Déjeuner à la mairie de Strasbourg, reçu par Mr le Maire,
    en présence de

    René Brender (BM11), René Marbot (Cadet de la France Libre), Jean Gilbert
    (1 RA) et Yvette Quelen Buttin 

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

     

     

    Le 20 novembre à Obenheim et Sigolsheim

    Lien vers la page de la commémoration à Obenheim

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

     

    ... à Sigolsheim

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôts de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet Commémoration à Obenheim et Sigolsheim

    (Photo internet)

    Le cimetière national de Sigolsheim (Haut-Rhin) a été créé en 1961. Il rassemble sur 33 408 m2  les corps de 1 589 soldats français, tombés durant la Deuxième Guerre mondiale : libération du Haut-Rhin et des Vosges par la 1ère Armée, combats de la Poche de Colmar. Aménagé de 1962 à 1965, le site a recueilli les corps exhumés des carrés militaires implantés dans les communes du Haut-Rhin, des Vosges et du Territoire-de-Belfort. 

    Cette nécropole est chaque année le cadre de plusieurs cérémonies commémoratives. 

     

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

        * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    Patrick Kautzmann et Blandine Bongrand Saint Hillier

     Hommage particulier à un Ancien de la 13 avec sonnerie aux morts
    et le Boudin à la trompette

     

    ... Monument aux Américains.

     

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet

     

     


    Fondation B.M.24 Obenheim      

    * Commémoration à Strasbourg avec dépôt de gerbes devant le char Zimmer et la plaque du Père Houchet


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  • Paris le 12 novembre 2017


    A l'aube du 20 novembre 1944, le général Brosset lançait son célèbre ordre général, objectif «Giromagny et le Rhin ».

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris


    Vers 7 heures, il quitte son P.C. de Melisey pensant que la Division atteindra Giromagny le soir même. Mais lui ne l'atteindra jamais, victime d'un tragique accident. Stupeur et consternation... tout un chacun à la Division apprend en fin de soirée la mort de son chef.

    Ainsi, cette journée d'avancées et de victoires (cf. notre dernier article sur les libérations d'Auxelles-Bas, Plancher-Bas, Plancher les Mines et Auxelles-Haut...) se termine dans le deuil.

    La D.F.L. perd le chef charismatique et si proche de ses hommes qui la menait au combat depuis la Tunisie.

    Lien vers la page du blog  (Etape n° 25)
      Livret mémoire du général Diégo Brosset

     

    Le Général Charles Diégo BROSSET (1898-1944) 
    (Musée d’Histoire Militaire)


    Ses attaches familiales se situent à Rillieux-la-Pape au nord de Lyon, mais il est né à Buenos Aires, d’où ses parents reviennent en 1900. Brosset s’engage en 1916 et sert au 27° BCA : il termine la Grande Guerre sergent titulaire de 3 citations. Il entre ensuite à l’école d ’officiers de Saint-Maixant. À sa sortie en 1921, le sous-lieutenant Brosset choisit l’Infanterie Colonialeet le 5° RIC de Lyon, où il restera peu, faisant un stage d’éducation physique à l’école de Joinville...

     

    Les anciens se sont souvenus de ce chef charismatique et si proche de ses hommes 

     

    au monument Brosset...

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

    (Photo internet)

     


    (Crédit photos : Blandine Bongrand Saint Hillier)

     

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

     


    ...Au pont de Bir Hakeim

     

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

     

    Le pont de Bir-Hakeim

    (Photo ©paris-promeneurs)

    En 1942, le viaduc de Passy a été rebaptisé pont de Bir-Hakeim, en souvenir de la victoire des troupes françaises remportée en Libye en 1942. C’est l’un des plus beaux ponts de Paris.

     

    (Crédit photos : Blandine Bongrand Saint Hillier)

     

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

    Le général Laurent Demolins (fils de Bernard Demolins)
    a déposé la gerbe au pont de Bir Hakeim

      

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

     

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

     

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

     

     

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

     

     

    Fondation B.M 24 Obenheim    

    * Commémoration et dépot de gerbes au monument  Brosset  et de la 1ère DFL  au pont de Bir Hakeim à Paris

     

     

     

     


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  •  28-11-1947 / 28-11-2017

     

    * COMMÉMORATION DU 70ÈME ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DU MARÉCHAL LECLERC

    ( 1902 -1947 )

    Photo internet

    Nous commémorons cette année le 70ème anniversaire de la disparition de Philippe de Hautecloque, dit « Leclerc », Maréchal de France, mort dans un accident d’avion dans le Djebel Aïssa, en Algérie, le 28 novembre 1947.  Plusieurs événements sont organisés ce week-end dans la Somme, à Glisy, Camon, Amiens et Tailly.

     

    Cette commémoration revêt une importance particulière dans la Somme, département de naissance de Leclerc, le 22 novembre 1902 à Belloy-Saint-Léonard. Nous n’oublions pas qu’il fût, avant de rejoindre l’école de formation des officiers de Saint-Cyr (dont il sortira major), un élève brillant de La Providence, à Amiens

    * COMMÉMORATION DU 70ÈME ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DU MARÉCHAL LECLERC


      Leclerc fait partie de ces héros associés à jamais à la Libération.

     Philippe Leclerc de Hauteclocque - Histoire du Monde
    Lien

    Fils d’Adrien, comte de Hauteclocque (1864-1945) et de Marie-Thérèse van der Cruisse de Waziers (1870-1956), il grandit au sein d’une famille de la noblesse picarde

    . Il passe la plupart de ses vacances en famille dans le village de pêcheurs d’Audresselles. En 1922, il entre à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion de Metz et de Strasbourg, dont il sort deux ans plus tard en tant que major de la cavalerie. Il entre alors à l’École d’application de la cavalerie de Saumur, dont il sort en 1925, la encore, en étant major.

    Il se marie la même année avec Marie-Thérèse de Gargan (marié le 10 août 1925) dont il aura ses six enfants (quatre garçons et deux filles)...

    (Texte biographique HistoireDuMonde.net)


    Fondation B.M 24 Obenheim    

    * COMMÉMORATION DU 70ÈME ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DU MARÉCHAL LECLERC

     

     

     


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