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Par authion le 12 Mars 2018 à 22:04
Jean-Yves Meunier - Institute of Research for Development | IRD · 237 - Mediterranean Institute of marine and terrestrial Biodiversity (IMBE)
En téléchargement sur le site Researchgate.net : LIEN
Nota : cette étude cite en bibliographie l'article que nous avions fait paraître en février 2016 sur la Promotion 2015-2016 Jean Des Moutis, de la PMM de Tours LIEN
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Par authion le 11 Mars 2018 à 14:50
Qui se souvient de l' origine Française Libre du 1er Régiment des Spahis marocains (RSM) , qui devint l'unité de reconnaissance de la 2e DB dans la Libération de la France ? Du ralliement en Juin 1940 d'un tout petit détachement de 39 hommes emmenés par le Capitaine Jourdier ? De ses premiers combats au Levant et au Moyen-Orient aux côtés des unités de la 1ère DFL ?
C'est à la redécouverte des Spahis Français Libres que nous vous invitons durant quatre semaines, à travers 3 volets historiques et la relation du parcours de l'un d'entre eux , le Compagnon de la Libération Michel ABALAN, proposé par sa famille, qui sera publié à l'issue de cette chronique.
Nos remerciements à Monsieur Alain Boussuge, auteur du Blog epagliffl (6), pour ses contributions à l'historique et les photographies mises à notre disposition.
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1ère partie. De l’Escadron Jourdier au GRCA (Juillet 1940 - Juillet 1942)
Le ralliement du Capitaine Paul Jourdier, chef du 1er escadron de spahis marocains
Le 30 juin 1940, sans même avoir entendu l'appel du général de Gaulle, le chef d'escadron Paul JOURDIER qui commande le 1er Escadron du 1er Régiment de spahis marocains (1er RSM) stationné au Liban, décide de ne pas tenir compte de l'armistice entre la France et l'Allemagne. Paul JOURDIER et son escadron étaient alors en manœuvre près de la frontière. Il se rend rapidement compte qu'il ne devra pas attendre ni ébruiter ses intentions et c'est au dernier moment qu'il prévient ses officiers et ses sous-officiers.
Ordre de la Libération
Paul JOURDIER : « Mon plan est aussitôt arrêté : puisque j'ai reçu un ordre préparatoire en vue d'un mouvement à faire le soir même ou le lendemain matin pour un camp situé sur la rive droite du Litani, je lèverai le camp une heure avant celle qui me sera fixée et je prendrai la piste de gauche, vers la source libanaise du Jourdain, au lieu de celle de droite ainsi, ceux que je préviens sauront où et quand me trouver s'ils désirent se joindre à nous.
Lorsque je redescends à mon bivouac, quel est mon étonnement de trouver l'Escadron sellé et en train de se rassembler. L'ordre de mouvement est arrivé pendant mon absence ; c'est gênant et cela m'empêche de prévenir mes Cadres d'avance. Tant pis, j'en parle à mon Lieutenant en premier en avalant un frugal casse-croûte. Après trois quarts d'heure de marche, voici le carrefour critique. Je rassemble mes Cadres et leur tiens le langage suivant : "Voici deux chemins, le bon et le mauvais ; que ceux qui ne renoncent pas à se battre me suivent. Je ne me retournerai pas et je les compterai ce soir. A cheval !" Un hurrah, un seul, mais justement celui qui l'a poussé a flanché ensuite. De l'inutilité des manifestations bruyantes !
Un ou deux kilomètres plus loin, voici derrière moi une galopade effrénée. C'est le Commandant d'un Escadron voisin :- Pourquoi n'as-tu pas prévenu d'avance, tout le monde serait venu ?
- Parce que je n'en ai pas eu le temps j'ai été pris de court.
- Attends jusqu'à demain ; je ne suis pas prêt pour aujourd'hui.
- Aujourd'hui je pars ; personne ne m'arrêtera. Demain je ne le pourrai pas.
- Au revoir.Dix kilomètres plus loin, c'est l'adjoint du Commandant du GRDI qui arrive en side-car. Je suis en train de descendre à pied vers la source du Jourdain où je vais faire l'abreuvoir ; il m'escorte pendant trois ou quatre minutes et essaye de me convaincre de revenir ; l'argument est déjà ce qu'il sera deux ans plus tard : discipline, pas de dissidence. C'est-à-dire que, sous ce prétexte, il endossait ce qu'en son for intérieur il considérait déjà comme une infamie. Je lui réponds que, depuis un mois, j'ai eu largement le temps de réfléchir à ce que je fais. Alors, tout en continuant de marcher :
- Au revoir, me dit-il, je voudrais bien que tu ne te trompes pas, et j'espère surtout que nous n'aurons pas un jour à échanger de coups de fusil.
C'est quelques mètres plus loin que je me suis aperçu de la monstruosité de cette phrase et qu'après tout, s'il voulait "retourner ses alliances" ce serait tant pis pour lui.
Après l'abreuvoir aux Sources, j'ai pris par le djebel au plus près du Jourdain, dans le souci de ne rencontrer personne sur mon chemin. Bivouac à la nuit, tout près de la frontière.
2 juillet. Entrée en Palestine sous mandat britannique et accueil des plus sympathiques d'un Régiment de Yeomanry ; Je pense que vous êtes à la pointe d'un immense mouvement qui soulèvera un jour toute la France, me dit le Colonel-Commandant ce Régiment de Cavalerie du Warwickshire ». (1)Il franchit avec une partie de son unité la frontière libano-palestinienne à cheval et rejoint les Anglais en Palestine. Le 6 juillet 1940, les spahis marocains dont leur entrée dans le camp d’Ariva, soit l'équivalent de deux pelotons : 39 hommes, dont dix-huit indigènes, commandés par deux officiers, le capitaine JOURDIER et le lieutenant de VILLOUTREYS. C'est peu...
Mais ces 39 hommes seront le socle d'une unité des plus farouches de la 1ère DFL puis de la 2e DB. (2)
L'escadron Jourdier stationne tout l'été à Ismaïlia en Egypte et fin octobre 1940, ayant reçu en renfort de nouveaux engagés, il est envoyé par les Britanniques sur la frontière soudano-érythréenne où il parvient après une épopée de quelques milliers de kilomètres.
UN CALOT ROUGE : « ces petits détachements sont trop peu nombreux hélas ! pour être autonomes. Dans ces conditions le Haut Commandement britannique du Meadle East décide de les employer en les rattachant à l’Armée du Nil qui manque de cavalerie. Ceci les oblige à s’équiper à l’anglaise, ce qui ne leur plaît qu’à moitié. Cependant, pour maintenir un élément spécifiquement français, le calot rouge qui sera bientôt célèbre, est adopté. Jamais nos spahis ne le porteront plus fièrement qu’au feu ».
La remontée du Nil en bateau nous fait découvrir une vallée riche en histoire, d’Assouan à Wadi-Halfa… le reste du parcours qui nous conduit nous et nos chevaux au Soudan anglo-égyptien dont une partie est occupée par les Italiens, se fait par chemin de fer. C’est le 8 décembre 1941 que l’escadron pénètre, comme pour une parade, dans la zone dite de guerre ». (3)
Janvier - Mars 941 : premiers combats en Erythrée
Le 2 janvier 1941, à UMBREGA (au confluent de trois frontières : Erythrée, Abyssinie, Soudan anglo-égyptien), au cours de l’une des dernières charges à cheval de l’histoire de l’armée française, l’escadron surprend et disperse un détachement italien supérieur en nombre, accomplissant ainsi le premier succès terrestre de la France libre contre les Italiens. Pour cette action le chef d'escadrons JOURDIER reçoit la Croix de la Libération.
UN CALOT ROUGE : « Cette fois l’escadron est sorti au complet… nous sommes exactement 27. … A 9h 45 notre patrouille de pointe tombe nez à nez avec un détachement italien évalué à 150 hommes à pied. Les officiers sont montés sur des chameaux. Surprise, notre patrouille ouvre le feu. Il nous est répondu par une fusillade d’une intensité surprenante…. La solution, dans armes automatiques est aussitôt trouvée par notre Capitaine : la charge…. Nous fondons comme l’ouragan à travers la masse des italiens que nous traversons à une allure foudroyante, semant le désordre et provoquant la dislocation totale du dispositif ennemi. Il ne comprend rien d’ailleurs à l’audace forcenée des Français. Ce geste dépasse leurs conceptions sur la guerre … L’Italien se replie cependant que nous nous regroupons pour recommencer notre charge. Les épineux et les hautes herbes nous cachent l’ennemi et le capitaine décide de demander des renforts avant de poursuivre son action. (3)
Il est 16 h lorsque nos patrouilles nous signalent de nouveau l’ennemi. Un savant mouvement tournant nous amène au combat. C’est le moment de charger car les coups de feu éclatent de toutes parts. (…)
Les renforts demandés ne nous ont pas encore rejoints. Nous continuerons seuls. Nouvelle charge de notre petit détachement divisé en 3 patrouilles d’égale importance. Surpris à nouveau par cette réaction à laquelle il ne s’attendait pas, l’ennemi fuit laissant sur le terrain 12 morts trois blessés et un prisonnier… nous regagnons le bivouac d’Abou-Derissa dans la nuit…
Les Anglais concluent en nous adressant de Londres des félicitations chaleureuses et en nous dotant cette fois de fusils-mitrailleurs V.B. qui précèdent eux-mêmes les fameux « brenn-guns ».
Le 18 janvier 1941, un nouvel engagement sérieux se produisit à OMAGER, à 5 km à l’intérieur de l’Erythrée italienne, alors que l’escadron de spahis était accompagné d’une section de Mahrattes motorisée de la 5e division indienne britannique. Après un léger accrochage entre une patrouille et un petit détachement italien, les spahis réalisent que les Italiens les avaient laissé pénétrer à l’intérieur de leur dispositif et qu’ils sont encerclés. Ils réussiront à se dégager sans dommages, grâce à une manœuvre de l’intrépide Capitaine JOURDIER.
Ensuite, l'escadron ne rencontra plus l'ennemi, les Italiens ayant replié leurs troupes jusque dans la région de Kéren où se préparait une forte résistance. Les spahis se portèrent jusqu'en avant d'Agordat où ils furent présentés au général de GAULLE le 31 mars 1941.
Quelques jours plus tard, l'escadron recevait un important renfort composé de gradés et d'hommes de troupe d'origine européenne ou nord-africaine qui avaient été évacués de Dunkerque dix mois auparavant et étaient restés en Angleterre, souvent pour y être soignés pour blessure.
(Ils seront rejoints fin 1941 par les élèves de la compagnie d'aspirants du camp d'Ornano à Brazzaville, qui avaient quitté l'Angleterre en août 1941).
Futurs Spahis à Brazzaville en 1941 - Archives Emile Pagliantini - epagliffl.canalbog.com
D’autre part, le lieutenant MOREL-DEVILLE avec quelques cadres européens, partit en hâte lever un escadron parmi les tribus cavalières et guerrières du Soudan et du Tchad.
Il fallait amalgamer ces forces et réorganiser l'escadron, c’est ainsi qu’en mars 1941 l'escadron Jourdier devient le 1er Groupe d'escadrons de spahis.
En raison de cette réorganisation, les spahis ne purent participer avec la Brigade Française d'Orient aux combats de l'Engiahat et de Keren les 27 mars et 8 avril, ni à la prise de Massaouah le 8 avril qui vint clore cette première campagne victorieuse des Français Libres en Erythrée. (4)
Le détachement Jourdier dans la Campagne de Syrie (Printemps 1941)
L'escadron, descendant le Nil, rejoignit l'Egypte, puis parvint le 20 Mai 1941 au camp de Qastina en Palestine où se concentrait la majeure partie des Forces terrestres de la France libre en vue de préparer la campagne de Syrie.
Il est mis à la disposition du Colonel Philibert COLLET, commandant les éléments de cavalerie de la Division Française Libre (1re DFL) du général LEGENTILHOMME.
Le détachement Jourdier entre sur camions en Syrie avec la 1re Brigade Légère Française Libre.
A partir de Cheik-Meskine la BFL progresse en tête, flanc-gardée à l'est par la colonne COLLET avec en tête, le détachement Jourdier. La progression ne pose pas de difficultés majeures jusqu'à la ligne de défense principale adverse, à une quinzaine de kilomètres au sud de Damas.
Les premiers accrochages sérieux ont lieu le 12 juin 1941 et, le 15 juin, la "Gent force" attaque. Le chef d'escadrons JOURDIER est renforcé d'un peloton d'automitrailleuses britanniques et d'un peloton de Tcherkess à cheval commandé par le sous-lieutenant ODDO. La compagnie de chars H 39 VOLVEY est également adaptée au détachement Jourdier.
L'attaque du 15 Juin subit dès le départ un sanglant échec. Lancé sans préparation ni accompagnement d'artillerie au village de Najah, à 15 km au sud de Damas, le détachement Jourdier se heurte à un adversaire bien préparé et sachant employer son artillerie et ses pièces antichars.
Les trois chefs de peloton sont mis hors de combat : les sous-lieutenants MOREAU et BENSA sont tués, l'adjudant-chef ARAINTY est blessé. Sur 95 spahis, on dénombre 7 tués, 2 disparus (dont le capitaine de VILLOUTREYS qui, blessé, a été fait prisonnier) et 24 blessés. C'est très diminué que l'escadron, placé aux ordres du lieutenant TROQUEREAU, participe à la prise de Damas au sein de la colonne Collet.
Eté 1941 - La création de deux groupes de reconnaissance de corps d'armée (GRCA)
L'armistice de Saint Jean d'Acre signé le 14 juillet 1941 a mis fin aux hostilités au Levant, d'autres escadrons ont été créés et vont former ensemble un, puis deux groupes de reconnaissance de corps d'armée (GRCA) commandés par JOURDIER et Robert de KERSAUSON DE PENNENDREFF. Le renseignement et la couverture sont leurs principales fonctions.
En décembre 1941, un détachement du 3e escadron commandé par le capitaine de COURCEL – le seul équipé d’automitrailleuses, les autres étant alors « portés » sur camions, est mis à la disposition de la Brigade Kœnig pour être employé dans les opérations contre les troupes de l’Axe en Libye.
Ce détachement d’auto-mitrailleuses « Dodge-Tanaké » rejoint la Bridage Koenig à Bir Hakeim.
Dodge Tanaké à Bir Hakeim
Sous les ordres du capitaine de COURCEL, il participe à toutes les patrouilles des Jocks columns que la brigade envoie dans le vaste no man’s land du désert libyen pour tâter le flanc de de l’Afrika Korps.
Ce peloton quitte Bir Hakeim au début de mai 1942 - quelques semaines à peine avant le déclenchement de l’assaut de Rommel, pour rejoindre en Egypte les Groupes de Reconnaissance Jourdier et de Kersauson du GRCA, qui ont quitté la Syrie et se forment près du Caire au camp de Mena.
Ils sont ensuite affectés au mois de juin à la 2ème brigade française libre commandée par le général CAZAUD, et rejoignent la 2ème BFL à l’est de Tobrouk en Libye.
Les Groupes de reconnaissance reçoivent alors des missions de défense vers Bardia et Sollum, protégeant le repli de la 8e armée britannique sur la position d’El Alamein.
Puis ils rejoignent en août les environs du Caire où ils sont enfin équipés de matériel britannique.
Les spahis disposent alors de deux escadrons à cinq pelotons de trois automitrailleuses et d'un escadron de quatre pelotons de trois autocanons.
UN CALOT ROUGE : « Ce matériel est loin d’être moderne, c’est l’armoured car Marmon-Harrington dont la silhouette et hélas, les qualités, rappellent beaucoup notre vieille White, ancêtre des auto-mitrailleuses. … son blindage n’a que 6 mm et se trouve à la merci de n’importe quel éclat d’obus. Son armement enfin, est bien léger avec le fusil mitrailleur Brenn et le fusil antichar Boys…. Certes, l’armement mis à la disposition des spahis est un peu léger, mais le système D est là. Quelques canons de 25 mm récupérés en Syrie sont montés sur les tourelles des Marmon-Harrington. Le Lieutenant Conus conçoit et réalise dans les ateliers de Tel El Kébir son « conus-gun », l’heureux cocktail du châssis Ford ou Chevrolet, de l’embase de tourelle du char italien M 13, et du canon de 75 mm modèle 1897, celui-ci bien français. L’adjonction de quatre conus-gun à chaque G.R. renforce singulièrement leur puissance de feu car cet engin est un véritable chasseur de chars, l’autocanon de cavalerie dont les cavaliers blindés rêvaient jadis sur les terrains de Mourmelon et autres Mailly ».(5)
1942 - Automitrailleuse Marmon Herrington Mark III A - copyright epagliffl.canalblog.com
Livre d'Or des Français Libres
(1) Annuaire de la DFL.
(2) 1061 Compagnons. Jean-Claude Nottin
(3) Revue de la France Libre n° 29, juin 1950
(4) Extrait de « Calots rouges » publié sur le Livre d’Or des Français Libres
(5) Revue de la France Libre n° 55 Février 1953
(6) : Blog sur le parcours du Spahi Emile Pagliantini Lien
A SUIVRE : 2 /4 - De la création du 1er RSM à la Colonne volante (Egypte 1942)
2 commentaires -
Par authion le 8 Mars 2018 à 21:24
Lecture audio du Journal de Marche de René Martel
ETAPE 5
Derniers combats à l'Authion
(Printemps 1945)Exercices en montagne...
La prise de la Baisse de St Véran...
La prise de l'Authion 2
Lien vers ETAPE 1 " Les Vosges, automne 1944"
Lien vers ETAPE 2 "La libération du territoire de Belfort"
Lien vers ETAPE 3 "de Masevaux au Front de l'Atlantique et retour..."
Lien vers ETAPE 4 " Combats en Alsace de janvier à mars 1945"
Couverture du Journal de Marche 1
Couverture du Journal de Marche 2
(Documents et photos Christian Martel)
Fondation B.M.24 Obenheim
2 commentaires -
Par authion le 2 Mars 2018 à 11:43
Lecture audio du Journal de Marche de René Martel
ETAPE 4Combats en Alsace de Janvier à Mars 1945
Sur la route des combats ...L'hiver dans les Vosges...
Dans Obenheim...
Yves Gras, Max Albospeyre et Yvon Tommasi (BM 21)- ADFL
Lien vers ETAPE 1 " Les Vosges, automne 1944"
Lien vers ETAPE 2 "La libération du territoire de Belfort"
Lien vers ETAPE 3 "de Masevaux au Front de l'Atlantique et retour..."
Couverture du Journal de Marche 1
Couverture du Journal de Marche 2
(Documents et photos Christian Martel)Fondation B.M.24 Obenheim
2 commentaires -
Par authion le 28 Février 2018 à 18:56
Mr Claude Witz, nous fait part du décès de son père
Mr Robert WITZ, ancien de la 1ère DFL, du B.M.24
ancien d'Obenheim.Robert, né le 30/6/1926, ancien du B.M. 24, est décédé ce matin 28/02/2018 à l'Hôpital militaire de Metz, à l'âge de 92 ans.
La cérémonie religieuse sera célébrée le samedi 3 mars 2018, à 11 heures en l'église Saint-Maximin du Vieux Mondelange (57300)
Au centre, Robert Witz, lors d'une cérémonie
du souvenir à Obenheim en mai 2014Film et interview de Robert Witz en 2014 par Jérémie Cecillon Mise en ligne le 15 mars 2015
A l'issue de la bataille d'Obenheim il fut fait prisonnier et envoyé en Allemagne.
La Fondation B.M.24 Obenheim présente ses sincères condoléances
à sa famille.Fondation B.M.24 Obenheim
4 commentaires
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