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  • Faire-part établi par Michel Magnaldi et la Délégation départementale du Var de la Fondation de la France Libre 

    La Fondation BM - 24 Obenheim adresse ses condoléances attristées à la famille de Joseph Grima et s'associe à la peine de ses amis et de la Délégation Var de la Fondation de la France Libre.

    Toulon, le 12 novembre 2022

    Mesdames, Messieurs les élus,

    Mesdames et Messieurs les représentants du monde combattant et de la mémoire,

    Mesdames, Messieurs,

     

    De la Valette du Var, du golfe de St Tropez, Toulon,

    Mme Josiane Grima sa belle fille et ses  petits enfants Pierre et Julie,

    Maxime, Romain et Lucien,( ses arrière-petits-enfants) ;

    Ses amis du monde combattant et de la mémoire ,

    Parents amis et alliés,

    ont la douleur de faire part du décès de

    Monsieur Joseph  GRIMA * jeudi 10 novembre 2022 à 16H00 à sa résidence Les platanes, à St Tropez.[ *1er conservateur de la stèle de la 1ère DFL du Débarquement et de la Libération de La Provence à La Croix-Valmer].

     

    La cérémonie religieuse aura lieu le vendredi 18 novembre 2022  à 10 heures, en la paroisse de Saint-Tropez, suivie de l'inhumation dans la commune. 

    Pour toute précision, il est possible de contacter Sébastien Monot de Roc Eclerc Cogolin au 04 94.54 63 71. 

    Jean-François Jordan du cabinet  du Maire de St Tropez coordonnera les porte-drapeaux et désignera un Maître de cérémonie à l'église et au cimetière. Il a  confirmé sa présence et disponibilité  . 

     

    A plus de 98 ans, la famille de la 1ère  DFL et de la Fondation de la France Libre, perd un passeur de mémoire parmi les ultimes libérateurs du Débarquement et de la Libération de la Provence et combattant de la Seconde Guerre mondiale ! 

    La Fondation de la France Libre remercie les porte-drapeaux et les représentants des anciens combattants et de mémoire du golfe de St Tropez,de l'est Var et du Var pour leur participation pour l'ultime hommage à ce vétéran de la Seconde Guerre mondiale. 

    Nous remercions  particulièrement Jean-François Demassey [Président de l'UNC St Tropez et Vice-président de l'UNC Var ]pour la coordination avec les anciens combattants du golf de St Tropez] car  notre ami Joseph Grima était le doyen de l'UNC St Tropez. 

    Nous remercions monsieur Blua pour la Légion d'honneur pour ses initiatives et monsieur Jordan qui fut membre de l'association Rhin et Danube avec Joseph Grima. ..

    Joseph a animé  l'association Rhin et Danube dans le golfe de St Tropez.

     

     

     

     

     

    Son ultime témoignage avait été  recueilli le 5 février 2020 par Néo Verriest, Toulonnais et chercheur en histoire. 

    Monsieur Joseph GRIMA est né en TUNISIE, le 4 juin 1924 à FERRYVILLE. 

    Engagé en TUNISIE en 1943, dans un bataillon du génie de la 1ère DFL (3° compagnie du 1er régiment de Génie de la DFL), il a participé à la campagne d’ITALIE. Il a débarqué le 15 aout 1944, à la CROIX VALMER...

     

    Joseph Grima, le démineur de la DFL

    Mini synthèse du parcours de Joseph GRIMA (04-06 -1924-10-11 2022), rédigé par Néo Verriest, Toulonnais et cherchant en histoire suites à son entretien avec Joseph Grima  le 5 février 2020 en sa maison de retraite des Platanes, à Saint-Tropez:

     

    Né le 5 juin 1924 à Ferryville, Joseph est particulièrement marqué pendant son enfance par les récits de son grand-père, vétéran de la bataille de Verdun au sein des Zouaves. Joseph grandit en Tunisie, élevée dans le patriotisme. Particulièrement marqué par la déroute des armées françaises et l’armistice, Joseph Grima, seize ans, développe cet « esprit de Résistance » qui l’emmène, deux ans et demi après, à rejoindre les  Forces Françaises Libres.

     

    Une fois les troupes alliées débarquées en Afrique française du Nord, Joseph s’engage au printemps 1943 au sein de la 1ère Division Française Libre. Joseph, de par sa spécialité, ne connaît que peu d’entraînements.   Il est intégré au sein de la troisième compagnie du 1er Bataillon de Génie.

     

    « Etant démineur, connaissant à la perfection l’application des obus, j’intègre naturellement le groupe des démineurs de la DFL. Je suis positionné dans ce bataillon, ayant pour rôle de rétablir les communications en période « offensive », d’établir un champ de mines en période « défensive ». Dans le milieu de l’année 1943, le 1er Bataillon de Génie se réorganise : nous recevons en effet un important matériel américain, qui nécessite entraînements. En pleine campagne de Tunisie, nous participons aux combats de Djebel Garci et Takrouna ».

     

    « Nous passons l'hiver 1943 en Tunisie à réceptionner et essayer le nouveau matériel américain, tandis que les premières divisions du Corps Expéditionnaire Français, dont je fais partie, se préparent à leur débarquement prochain en Italie. En avril 1944, notre division est embarquée à Bizerte et à Bône en direction du nord de Naples, avant de se regrouper à l'est d'une région montagneuse, Avellino. Au déclenchement de l’attaque, le 10 mai, nous entreprenons l’accompagnement des autres armes, pour faciliter le franchissement des champs de mine. Le Génie lancera par ailleurs un pont flottant sur le Garigliano. En direction de Pontecorvo, le Génie participe au dégagement de la rivière le long du Liri, les environs de Pontecorvo sont déminés. Le lendemain de mon vingtième anniversaire, je fais mon entrée dans Rome, déclarée ville ouverte. Le 7 juin, des éléments du Génie rentrent à Tivoli, la poursuite de la campagne d’Italie sera très tranquille, jusqu’à l’embarquement, en préparation de la libération du territoire français ».

     

    Les démineurs sont très peu requis à l’intérieur des terres. La Libération de la métropole approche à grands pas, ce qui importe particulièrement à ces jeunes Français Libres.

    Regroupés à Albanova avant leur départ pour Tarente, Joseph et ses camarades embarquent sur Le Volendam dans la nuit du 12 août.

    Le débarquement de la DFL sur les côtes de La Croix Valmer marque durablement Joseph. Il a 20 ans. « Je n’avais jamais touché le sol français, comme mon grand-père à son arrivée en France pendant la Grande Guerre, dans son régiment de Zouaves ».

     

    Le Génie ne possède alors que peu d’équipement, son rôle est relativement réduit pendant la libération de la Provence. Joseph Grima libère, entre autres La Croix Valmer, La Valette, Le Pradet et Hyères-les-Palmiers, où il participe à la bataille du Golf Hôtel. Pendant la remontée du Rhône, Joseph démine les ponts et participe à la construction de ponts amovibles.

    « Dans chaque commune libérée, la même scène se déroule : voilà deux ans que les Américains nous habillent de tenues américaines… Quel étonnement pour la population que de voir des Américains parlant un tel français !

    « A la fin du mois de novembre, alors que nous nous trouvons à Oberbruck, dans le secteur de Belfort, nous recevons pour ordre de faire un « passage à gué ». Je suis chargé dans un premier temps de vérifier qu’il n’y ait pas de mines dans les environs, avant de, à l'aide de pierres, de planches, de ce qui me tombe sous la main, faire un passage permettant aux Fusiliers Marins de traverser avec leur matériel ».

    Une ambiance très tendue règne dans ce petit village, les maisons sont calfeutrées, pas un habitant à l’horizon. Les Fusiliers Marins et leurs half-tracks attendent. Pas un bruit dans ce grand silence. « Soudain, un obus tombe devant moi, un autre à ma gauche… puis à ma droite ! Un nuage de poussière nous entoure. Des cris, des pleurs aussi. Un obus tombe au milieu du groupe ».

    Joseph sent une vive brûlure sur sa cuisse gauche : du sang coule le long de sa jambe, son visage est ensanglanté. Ce tragique épisode a laissé des défigurés et de grands blessés criblés de balles allemandes. Joseph est évacué dans une maison du village. « Je suis conscient, les camarades me redonnent une peu de force avec un peu d’eau-de-vie et quelques cigarettes. Avec beaucoup de tristesse, depuis cette maison perdue dans le Haut-Rhin, je vois mes camarades mourir, tellement défigurés qu’ils en sont méconnaissables, dans les pires souffrances ».

    Joseph est transféré à l’hôpital militaire de Sewen, où les éclats d’obus sont extraits de sa jambe. Après une longue convalescence, Joseph est expatrié dans sa famille, à Ferryville. Un voyage à contrecœur pour un jeune homme de vingt ans qui n’a pour seul espérance que la libération de son pays.

     

     Au grand étonnement de toute sa famille, une fois remis de ses graves blessures, Joseph choisit de retrouver « sa » DFL au massif de l’Authion. Un grand étonnement pour ses camarades de combat ! « Après ces sanglants combats au lance-flammes, nous apprenons la capitulation sans condition, une vraie joie parmi la troupe, certains n’ont revu leur famille depuis des années. Je participe au défilé de la Victoire, le 18 juin 1945 sur les Champs-Elysées, où j'aperçois le Général de Gaulle.

    Cinq ans de luttes, de combats pour les Forces Françaises Libres, avant d'arriver à ce défilé de la Victoire ! Au cours de mes aventures, depuis mon engagement en Tunisie jusqu’en Allemagne, en passant par le débarquement, Dieu m’a toujours protégé ». 

     

    Devenu dessinateur d’études à l’Arsenal de Toulon, Joseph garde de forts liens avec ses « copains » de la 1ère DFL. Installé à Saint-Tropez, Joseph s’investit auprès des anciens combattants, mais aussi pour le Mémorial de la 1ère DFL. A plusieurs reprises, Joseph intervient dans l’école élémentaire de Saint-Tropez pour témoigner de son vécu, ce qui lui tenait à cœur. Avec son départ, survenu le 10 novembre 2022, une page se tourne pour la Mémoire de la 1ère DFL dans le Var.

    Ainsi concluait-il notre entretien du 5 février 2020 :

    « Parfois, en repensant à ma défunte épouse, à mes camarades démineurs disparus, quelques larmes ne peuvent s'empêcher de sortir... »

     

    Salutations attristées,

    Michel Magnaldi et la Délégation départementale du Var de la Fondation de la France Libre 

     

     

     

     

     

     

    * Faire-part et hommage à Joseph GRIMA (Génie de la 1ère D.F.L.), disparu le 10 novembre 2022


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  • Bulletin du mois d'Octobre 2022 (Extraits). 

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    * Une riche année 2022 pour l'Association

     

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  • Hebdo 39, votre journal d'infos du Jura  2 août 2022

    Dans le cimetière de Montain, près de Lons-le-Saunier, les tombes du sous-lieutenant Pierre Dargent et du général Edgard de Larminat racontent des épisodes de la France Libre et de la bataille de Bir Hakeim dont on commémore le 80e anniversaire. 

    Pierre Dargent, tué à Bir Hakeim, n’avait pas 20 ans. Crédit : mairie de Levallois

            Il est de coutume de penser que les cimetières sont peuplés de gens irremplaçables. C’est le cas sur les hauteurs de Montain, près de Lons-le-Saunier, où voisinent les tombes du sous-lieutenant Pierre Dargent et du général Edgard de Larminat. Leurs destins sont liés par la guerre et la France Libre. Pierre Dargent est né à Dole en juillet 1922, sa famille gagne Levallois dans les années trente. Étudiant en sciences politiques, Pierre Dargent réussit à gagner Londres pendant l’été 1940. Il est dirigé vers Brazzaville où s’ouvre l’école Colonna d’Ornano chargée de former les officiers de la France Libre.

    Le jour de l’ouverture de l’école, Pierre Dargent prononce une vibrante adresse au général Edgard de Larminat. Ce dernier, né à Alès en 1895, a rejoint la France Libre en juin 1940 ; il y occupe très vite des fonctions importantes. Après sa formation, l’aspirant Dargent entre en campagne au sein du deuxième bataillon de marché du Tchad, versé dans la première brigade française libre (BFL), commandée par… Edgard de Larminat.

    « Nous ne sommes ni des surhommes ni des saints… »

    A Brazzaville, le jour de l’inauguration de l’école Colonna d’Ornano, Pierre Dargent prend la parole et s’adresse au général Edgard de Larminat. Une adresse au souffle épique que voici :

    « Nos âges sont différents. Nos formations intellectuelles visaient à des buts différents. Nos vies passées furent infiniment diverses. Mais nous n’avons tous qu’un âge, celui dont nous ont marqués les épreuves passées. Nous n’avons plus qu’un but : servir. Nos vies suivront dans le futur des voies parallèles… »

    « Car nous savons tous que ceux d’entre nous, qui deviendront officiers, s’ils auront droit à un peu de respect, auront surtout les sérieux devoirs du travail, de la patience, de l’ardeur, du courage et la charge importante de lourdes responsabilités… Nous ne sommes ni des surhommes, ni des saints mais nos devoirs envers notre patrie, envers nos chefs et nos hommes, envers nous-mêmes enfin, nous hausseront au-dessus de ce que nous fûmes. Nous ne faillirons pas à nos devoirs. Nous arracherons à nos ennemis, et par les armes et par la force souveraine d’une volonté indestructible, les bonheurs qu’ils nous ont ravis. Nous partirons et prendrons chaque joie d’assaut. De victoire en victoire nous parviendrons au bonheur suprême, de la résurrection et de la pureté de la France. Action, Sacrifice, Espérance. Mon Général, mettez-nous à l’épreuve… »

     

    Un Verdun des sables

    Début 1942, la 1ère BFL prend position à Bir Hakeim aux confins de la Lybie et de l’Egypte, elle vient en soutient des forces britanniques. La position est fortifiée pour contenir le choc de l’offensive des troupes italiennes et allemandes commandées par le général Rommel. Quelque temps plus tard Edgard de Larminat laisse le commandement au général Koenig. La bataille s’engage à partir du 27 mai. Une bataille terrible entre moins de 4 000 combattants de la France Libre et des forces italo-allemandes quasi dix fois supérieures.

     

    C’est un Verdun des sables où Pierre Dargent combat avec bravoure. Il est déjà noté pour une citation quand il est tué le 8 juin en cherchant à atteindre un observatoire dont son unité n’avait plus de nouvelles, observatoire d’une importance vitale. Le 11 juin, dans la nuit, ayant accomplie plus que leur mission, les forces françaises réussissent à briser l’encerclement et à évacuer le site au prix de lourdes pertes. Cette bataille entre alors immédiatement dans la légende. On a coutume de dire qu’il s’agit du Valmy de la France Libre.

     

    Après cet épisode, Edgard de Larminat poursuit une carrière de haut-vol. Même s’il est né à Alès, il soulignera toujours avec talent le caractère comtois de sa famille qui garde des attaches dans un village proche de Montain. On peut le lire dans ses Chroniques irrévérencieuses publiées peu de temps avant sa mort tragique. Il y décrit ainsi avec humour comment il souhaitait être inhumé à Montain, et les détails de la cérémonie. L’histoire sera plus rapide que prévue. Quelques mois plus tard, le 1er juillet 1962, il se suicide. Ceci est une autre histoire.

     

    Jean-Claude Barbeaux

      

    Pierre Dargent : « Général, mettez-nous à l’épreuve ! »  par  Jean-Claude Barbeaux

    La tombe de Pierre Dargent à Montain. Elle porte la cocarde du Souvenir Français qui entretient les tombes des combattants morts à l’ennemi. Crédit : Y.S.

     

    Pierre Dargent : « Général, mettez-nous à l’épreuve ! »  par  Jean-Claude Barbeaux

    Dornier. Livre ouvert des Français Libres

     

    Pierre Dargent : « Général, mettez-nous à l’épreuve ! »  par  Jean-Claude Barbeaux

     

    La tombe du général Edgard de Larminat. Il a été fait Compagnon de la Libération.

     

    Témoignage sur Pierre Dargent par  Guy Tramon dans  "La course de l'Observatoire" , à retrouver dans Au jour le Jour à Bir Hakeim (2022) Pages 131- 133

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    Les Francs-Comtois présents à la bataille de Bir Hakeim

    Jura

    Pierre Dargent, 19 ans en mai 1942, deuxième bataillon de marché du Tchad, né à Dole. Tué à Bir Hakeim.

    Marcel Gabriel, 22 ans, 1er régiment d’artillerie, né à Tassenières.

    Bernard Saint Hillier, 30 ans, 13e DBLE (1), né à Dole. Compagnon de la Libération.

    Doubs

    Amédée Clerc, 20 ans à Bir Hakeim, fusilier marin, né à Baume-les-Dames.

    Roger Jacquin, 25 ans, fusilier marin, né à Besançon.

    Michel Périat, 21 ans, 13e DBLE, né à Glay.

    Jacques Pernet, 31 ans, 13e DBLE, né à Besançon. Compagnon de la Libération.

    Jean-Pierre Sartin, 25 ans, 13e DBLE, né à Besançon. Compagnon de la Libération.

    Haute-Saône

    Georges Denis, 26 ans, 1er régiment d’artillerie, né à Jussey.

    Jacques Petitjean, 24 ans, 1er régiment d’artillerie, né à Thiéffans, Compagnon de la Libération.

    Albert Pradelle, 43 ans, bataillon d’infanterie de marine, né à La Chapelle-saint-Quillain.

    Bernard Vernadet, 24 ans, 1er régiment d’artillerie, né à Gy.

    Territoire de Belfort

    Jules Hirlemann, 41 ans, aumônier militaire, né à Belfort. Compagnon de la Libération.

     

     

     


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  •   Nos remerciements à François Broche

     

    7 octobre, Arc de Triomphe  : " "Que vive à jamais la mémoire des valeureux tamari'i volontaires et de leur chef !"

    De gauche à droite : Philippe Leydet, Naea Bennett et François Broche

         Le 7 octobre, la Flamme sacrée a été ravivée par l’Amicale du Bataillon du Pacifique de Tahiti, représentée par le directeur de l’ONACVG de Papeete, le lieutenant-colonel (H) Philippe Leydet, en présence de M. Naea Bennett, ministre de la Jeunesse et des Sports de la Polynésie française, des deux sénateurs du territoire, Mme Lana Tetuanui et M. Teva Rohfritsch, du contre-amiral Jean-Mathieu Rey, ancien commandant supérieur en Polynésie, ainsi que François Broche, président d’honneur de l’AFCL, fils du Compagnon Félix Broche, premier commandant du Bataillon du Pacifique.

    François Broche a signé le Livre d'Or  en formulant cette adresse, ou plutôt cette promesse :

    " Que vive à jamais la mémoire des valeureux Tamari'i Volontaires et de leur chef ".

     

     

     


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