• Information sur la publication de l'ouvrage
    de Nicolas MINGASSON

    "1929 jours, le deuil de guerre au 21e siècle"

    * Communication de Mr Michel HUSS  Directeur de l’'ONACVG du Bas-Rhin.

     

    (Publié aux éditions Belles lettres)

    Projet soutenu par

    Office national des anciens combattants et victimes de guerre

    * Communication de Mr Michel HUSS  Directeur de l’'ONACVG du Bas-Rhin.

    Le Bleuet de France

    * Communication de Mr Michel HUSS  Directeur de l’'ONACVG du Bas-Rhin.

     

     

    Contact  ’ONACVG


    (Article proposé par Brigitte Pefferkorn )


    votre commentaire
  • Henri TAILLEFER est né le 10 décembre 1906 à L'Isle-en-Dodon en Haute-Garonne. Militaire, il s’engage dans la France Libre en Palestine en août 1941. Il est affecté au Génie de la 1ère DFL. Le chef de bataillon Henri Taillefer est Mort pour la France le 18 mai 1943 à Takrouna, pendant la campagne de Tunisie Il fut inhumé au Cimetière de la région d'Enfidaville. Sa dépouille a été ré-inhumée au cimetière de L'Isle-en-Dodon le 10 mars 1949.http://www.lisleendodon.com/patrimoine/personalitees.htm Dossier administratif de résistant au SHD : GR 16 P 560899

    Source : Page du Livre d’Or des Français Libres LIEN

    Le Commandant Emile Taillefer, un Français libre

    Né le 10 décembre 1906, Emile Taillefer est l'aîné de trois enfants d'une famille de pâtissiers. Elève au cours complémentaire de L'Isle-en-Dodon dans la Haute-Garonne, puis au lycée de Toulouse, il entra à l'Ecole Polytechnique en 1929.

    A la sortie de l'école en 1931, il embrassa la carrière militaire qui le conduisit en 1937 au Service Géographique des armées en France, puis au Moyen Orient en 1939. Le 5 août 1941 il répond à l'appel du 18 juin et rejoint le général De Gaulle et les troupes de la France libre. Il fut spolié de ses biens en France et condamné à mort par contumace par le gouvernement de Vichy (jugements du tribunal de la 16e division militaire des 2 et 17 juin 1942).

    Il prit part en 1942 à la campagne de Libye au commandement de la 2e brigade française, était ensuite rappelé à Beyrout pour y diriger un cours d'aspirants du génie, avant de rejoindre la Première Division Française Libre commandée par le général de Larminat. En mai 1943 la division française, placée sous les ordres du maréchal Montgoméry, participa à la bataille décisive de Takrouna, à l'entrée de la plaine de Tunis, avant le débarquement des forces alliées en Sicile. Le commandant Taillefer fut tué au cours de la bataille, le 18 mai 1943. Sa dépouille a été inhumée au cimetière de L'Isle-en-Dodon le 10 mars 1949.

    Il est décoré de la Légion d'Honneur, de la Croix de Guerre avec palmes, de la médaille du Mérite Libanais, des médailles commémoratives du Levant, de la médaille de la Guerre 39/45 et de la médaille des Services Volontaires dans la France Libre.

    Le 1er septembre 1945, le général De Gaulle adressa cette lettre de félicitation à sa famille:

    "Répondant à l'appel de la France en péril de mort, vous avez rallié les Forces Françaises Libres. Vous avez été de l'équipe volontaire des bons compagnons qui ont maintenu notre pays dans la guerre et dans l'honneur. Vous avez été de ceux qui, au premier rang, lui ont permis de remporter la Victoire! Au moment où le but est atteint, je tiens à vous remercier amicalement, simplement, au nom de la France!"

    Le 1e Septembre 1945, Signé: Charles de Gaulle

    Source : Le Livre d'Or des Français Libres, cité par Jean-Louis Brousse en 2010

    .......................................................................................................................

     


    votre commentaire
  •  

    * Le Blog Sur les Chemins de la DFL 100 fois millésimé !

     

    Chères visiteuses et chers visiteurs,


    Notre site a reçu en ce jour sa 100 000ème visite depuis janvier 2014. Plus de 365.000 pages ont été vues et le nombre de visites journalières s’établit entre 90 et 170. Nous avons même connu deux jours de forte pointe à 500 et 700 visites cet été !

    Vos nombreuses consultations de notre blog d’actualité et de mémoire nous encouragent à poursuivre nos publications.

    Cela prouve que les informations fournies sont utiles, qu’elles maintiennent le lien entre Familles et Amis de la DFL et qu’elles apportent des réponses à certaines de vos questions ou de vos besoins.

     

    Notre esprit est celui du partage et nous espérons que nos travaux de mémoire inspirent et facilitent ceux que certains d’entre vous opèrent de leur côté. Merci dans ce cas de mentionner la source du Blog, en reconnaissance des actions de nos bénévoles.

     

    Pour ce travail, il nous faut remercier tous les contributeurs, nous n’en citerons aucun car nous risquerions d’en oublier. Nous adressons nos plus vifs remerciements

    • à nos anciens de la 1ère Division Française Libre,
    • à nos fidèles reporters photos,
    • à nos correspondants de France et du monde entier,
    • à nos correspondants héritiers d’anciens de la 1ère DFL pour la rubrique Trésors d’Archives.

     

    Nous encourageons tous nos visiteurs à nous apporter leurs commentaires et à nous faire part d’informations particulières sur les manifestations relevant du thème du blog. Nous les remercions par avance.

     

    Enfin un grand MERCI aux webmesters  pour la mise en ligne souvent très rapide des articles qu’ils réceptionnent et la maintenance du site qu’ils assurent.

    Fondation BM 24-Obenheim



    6 commentaires


  • Constant Engels a 96 ans, il vit dans l'Ehpad Edelweiss, à Beauzelle, près de Toulouse. Ce vendredi ce résistant a reçu l'insigne de commandeur de la légion d'honneur pour avoir combattu avec les FFL au 1er RA de la DFL


    * Forces françaises libres. L'insigne de commandeur de la légion d'honneur pour Constant Engels

    (France Bleu Toulouse)

     

    "On ne lui arrive pas à la cheville. C'est un homme de valeur. On est très fières de l'avoir ! " Au premier rang pour la cérémonie, Yvonne et Marcelle sont émues. Constant Engels, leur voisin de chambre, reçoit ce vendredi l'insigne de commandeur de la légion d'honneur.

     Le vieil homme de 96 ans sourit en avouant qu'il a déjà "une centaine de médailles" dans son placard. Mais à chaque fois il est un peu tendu : "ce n'est pas le trac non mais je passe beaucoup de temps à préparer, à mettre en ordre... Ça m'a pris toute la soirée hier !"

     Constant Engels n'avait pas 20 ans au début de la seconde guerre mondiale. Il vivait en Belgique avec ses parents. Quand les Allemands envahissent le pays ils fuient en Angleterre : "à l'époque même les Russes avaient peur des Allemands"raconte Constant Engels. Après avoir été mobilisé puis démobilisé par Pétain, le jeune homme décide de rejoindre les Forces françaises libres. 

    Il combat, entre autres, en Érythrée, en Syrie, en Libye où il sera gravement blessé lors de la bataille de Bir-Hakeim. Il attend pendant plus de deux heures avec sa jambe en charpie : ses supérieurs loueront "son moral exemplaire".

    Cette attitude est aussi évoquée dans le décret qui lui attribue la Croix de la Libération : "Constant Engels a toujours recherché les postes de combattant. Il n'a cessé de remplir ses fonctions avec calme et mépris absolu du danger."


    * Forces françaises libres. L'insigne de commandeur de la légion d'honneur pour Constant Engels

    (En 1942, le général de Gaulle décore le jeune Constant Engels,
    blessé au combat - DR)

     

    "Tous les jeunes sont comme ça" commente, plus de 70 ans après, le résistant. "Il est très humble, très discret" confirme Nathalie, infirmière à l'Ehpad de Beauzelle. "Il ne parle de son passé que si on l'interroge, mais c'est vrai qu'aujourd'hui il est très heureux ! Il a la banane !"

     

    * Forces françaises libres. L'insigne de commandeur de la légion d'honneur pour Constant Engels

    (Constant Engels avec deux des généraux qui lui ont remis la légion d'honneur © Radio France - Jean Saint-Marc)

    Seuls quatorze des compagnons de la Libération sont encore en vie aujourd'hui. 

    * Forces françaises libres. L'insigne de commandeur de la légion d'honneur pour Constant Engels


    Par Jean Saint-Marc, Texte et photos   France Bleu Toulouse (lien) 

     

    (Article proposée par Blandine Bongrand - Saint Hillier)


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique