•  Communiqué de l' Ordre de la Libération - Hommage national à Daniel Cordier, Compagnon de la Libération   
    Hommage national - En direct sur France 2  

    Communiqué de l' Ordre de la Libération - Hommage national à Daniel Cordier, Compagnon de la Libération  

    Aujourd'hui à partir de 15h suivez l'hommage national à Daniel Cordier, Compagnon de la Libération dans une émission spéciale sur France 2. Vladimir Trouplin, conservateur du musée de l'Ordre de la Libération sera en direct sur le plateau.
     
     
     
    Fondation B.M.24 Obenheim

    Communiqué de l' Ordre de la Libération - Hommage national à Daniel Cordier, Compagnon de la Libération

     

     


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  • L’Ordre de la Libération a la grande tristesse de nous faire part de la disparition de monsieur Daniel CORDIER

     

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    Daniel Cordier, " l'avant-dernier Compagnon de la Libération", secrétaire de Jean Moulin pendant la Seconde Guerre mondiale, est mort à l'âge de 100 ans ce vendredi 20 novembre, à Cannes. Il est l'un des tout premiers Français à avoir rallié les Forces françaises libres en juin 1940. 

     

    * Décès de  Daniel Cordier, avant-dernier Compagnon de la Libération

    (Photo Franceinfo)

     

     * Décès de  Daniel Cordier, avant-dernier Compagnon de la Libération

    Elevé à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur
    par le président de la République le 18 juin 2018


    (Photo Ordre de la Libération) 


    "Daniel Cordier, le résistant, le secrétaire de Jean Moulin, s’en est allé. Quand la France était en péril, lui et ses compagnons prirent tous les risques pour que la France reste la France. Nous leur devons notre liberté et notre honneur.
    Nous lui rendrons un hommage national."

                                                             Emmanuel Macron

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    Né le 10 août 1920, le Bordelais Daniel Cordier est un jeune militant maurrassien et monarchiste qui est sur le point d'être incorporé dans l'armée lorsque le maréchal Pétain annonce l'armistice. Révolté par ce discours, il décide de rallier sur le champ les Forces françaises libres (FFL). Il embarque le 21 juin 1940 à Bayonne, direction Londres.


    "Je suis le fils de la guerre de 1914. Mon enfance, ce sont les monuments aux morts, les mutilés, etc. Alors, en 1940, quand la France a perdu la guerre qu'elle avait gagnée vingt ans plus tôt, ça a été pour moi insupportable."

                                                                                              Daniel Cordier

     

    Biographie
    Texte Ordre de la Libération

    Alias : BIP W - BX10 - Alain - Michel - Benjamin- Talleyrand - Toussaint - Charles Daguerre - Dandinier

    Daniel Bouyjou-Cordier est né le 10 août 1920 à Bordeaux (Gironde) dans une famille de négociants.

    Il fait ses études dans plusieurs collèges catholiques ; militant de l'Action française, il fonde à 17 ans à Bordeaux le Cercle Charles Maurras.

    Il n'a pas encore 20 ans et attend son incorporation prévue le 10 juillet, lorsque, près de Pau où réside sa famille, il entend l'annonce de demande d'armistice faite à la radio par le maréchal Pétain le 17 juin 1940.

    Révolté par ce discours, il décide de continuer la lutte, et rassemble 16 volontaires, parmi lesquels son ami Philippe Marmissolle-Daguerre, avec lesquels il embarque le 21 juin depuis Bayonne sur un navire belge, le Leopold II, pour l'Afrique du Nord. Dérouté vers l'Angleterre, il atteint Falmouth le 25 juin.

    Daniel Cordier s'engage avec ses camarades dans la "Légion de Gaulle" le 28 juin 1940. En transit pendant quelques jours à l'Olympia Hall, il y est affecté au Bataillon de Chasseurs alors en formation. Il arrive début juillet à Delville Camp, où il suit un entraînement jusqu'à la fin du mois. Le Bataillon de Chasseurs est ensuite installé à Camberley puis au camp d'Old Dean où Daniel Cordier poursuit sa formation militaire.

    Le Bataillon étant dissous, il est affecté à un peloton d'élève officier. Promu aspirant en août 1941, alors que le départ prévu pour le théâtre d'opérations africain ne se concrétise pas, il brûle de passer à l'action et obtient d'être affecté, à l'été 1941, au service "Action" du Bureau central de Renseignements et d'Action (BCRA), c'est-à-dire les services secrets de la France libre à Londres.

    Pendant un an, il suit un entraînement spécial dans les écoles de l'Intelligence Service sur le sabotage, la radio, les atterrissages et parachutages. Daniel Cordier, sous le nom de code de Bip W, est parachuté en France près de Montluçon le 26 juillet 1942, comme radio et secrétaire de Georges Bidault, chef du Bureau d'Information et de Presse (BIP), agence de presse clandestine.

    A Lyon, le 1er août, il rencontre pour la première fois Rex, alias Jean Moulin, représentant du général de Gaulle et délégué du Comité national français, qui l'engage pour organiser son secrétariat à Lyon. Il met sur pied un état-major clandestin, sans moyen ni personnel - surtout au début - avant d'être assisté par Laure Diebold, puis par Hugues Limonti notamment.

    En mars 1943, Daniel Cordier organise et dirige à Paris, selon les directives de Jean Moulin, son secrétariat de zone nord.

    Après l'arrestation de ce dernier le 21 juin 1943 à Caluire, il poursuit sa mission en zone nord comme secrétaire de la Délégation générale en France auprès de Claude Bouchinet-Serreulles, successeur par intérim de Jean Moulin.

    A son poste jusqu'au 21 mars 1944, pourchassé par la Gestapo, il s'évade par les Pyrénées. Interné en Espagne, à Pampelune puis à Miranda, il est de retour en Angleterre fin mai 1944 et est nommé chef de la section des parachutages d'agents du BCRA.

    Intégré à la Direction générale des Etudes et Recherches (DGER) en octobre 1944, il dépouille, avec Vitia Hessel, les archives du BCRA pour permettre la rédaction, dont se charge Stéphane Hessel, du Livre blanc du BCRA.

    Chef de cabinet du colonel Passy, directeur de la DGER, il démissionne après le départ du général de Gaulle en janvier 1946.

    Après la guerre, Daniel Cordier désire consacrer sa vie à la peinture et commence une collection d'art contemporain.

    En 1956, il ouvre une galerie d'art à Paris et à New York jusqu'en 1964. En 1979, il est nommé membre de la commission d'achat du Centre Georges Pompidou auquel, en 1989, il fait don de sa collection dont une partie se trouve au Musée d'Art Moderne de Toulouse, "Les Abattoirs".

    Depuis le début des années 80, Daniel Cordier s'est fait historien pour défendre la mémoire de Jean Moulin ; abandonnant ses activités artistiques, il se consacre à des recherches historiques sur Jean Moulin dont il publie depuis 1983 une colossale biographie en six tomes.

    Daniel Cordier est membre du Conseil de l'Ordre de la Libération depuis septembre 2005. En octobre 2017, il est nommé chancelier d’honneur de l’Ordre de la Libération.


    • Grand Croix de la Légion d'Honneur
    • Compagnon de la Libération - décret du 20 novembre 1944
    • Croix de Guerre 39/45
    • Membre de l'Ordre de l'Empire britannique

     

     

    * Décès de  Daniel Cordier, avant-dernier Compagnon de la Libération

     

     La Fondation B.M.24 Obenheim
    présente ses sincères condoléances à sa famille.

     

     

     

    Fondation B.M.24 Obenheim        

    * Décès de  Daniel Cordier, avant-dernier Compagnon de la Libération

     

     

     

     


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  • Le traditionnel "coup de canon" à Nice :

    son histoire et sa résonance dans la Libération

     

    * Le traditionnel "coup de canon" à Nice : son histoire et sa résonance dans la Libération

    (Crédit photo  Régions - Provence-Alpes-Côte d'Azur)

    (Photo internet)

    Certains d'entre vous auront été étonnés d'entendre le tir du canon à la fin de la cérémonie d'hommage aux victimes de l'attentat  qui se déroulait ce matin à Nice.
    En effet, un coup de canon tiré depuis la colline du château, résonne chaque midi dans les rues de Nice, sauf le 14 juillet (en mémoire des attentats de 2016). Ce retentissement provient d’une bombe de feu d’artifice, un marron d’air, tiré par un artificier. Ce 7 novembre 2020, il a retenti trois fois en hommage aux trois victimes tuées à la Basilique Notre-Dame de l’Assomption de Nice.
    L’origine de cette tradition n’est pas militaire, comme l’expliquait en 2018 l’artificier Philippe Arnello, qui est en charge de ce tir : « En 1862, l’Ecossais Sir Thomas Coventry mangeait chez lui avec ses officiers. Comme sa femme était souvent en retard, il utilisait ce coup de canon comme signal pour qu’elle lui fasse à manger, explique-t-il. Quand il est rentré chez lui dans son château d’Edimbourg, il a laissé une somme d’argent à la mairie de Nice pour que ce rituel perdure. C’est ensuite Malaussena qui a fait voter un arrêté municipal pour que cette tradition perdure ».
    Lorsque, le 7 mai 1945 l'armistice est signé à Reims, la 1ère DFL est à Nice. Le gros de ses unités cantonne dans les villes et les villages des alentours. Le jour de la victoire, elle salue l'événement de 101 coups de canon, et participe aux festivités organisées à Nice et à Cannes. Ses troupes défilent sous les acclamations de la foule, tandis que retentissent toutes les sirènes et que sonnent à pleine volée toutes les cloches de la région.
    On peut imaginer que c’est en lien avec cette tradition que le 1er Régiment d’Artillerie FFL, qui venait de participer aux derniers combats victorieux dans le massif de l’Authion, tira le 8 mai 1945 ces coups de canon sur la Place Massena à Nice
     
     
    * Le traditionnel "coup de canon" à Nice : son histoire et sa résonance dans la Libération
    (Crédit photo Florence Roumeguere)
     
     
    Malheureusement, son créateur et commandant, Jean-Claude Laurent-Champrosay, ne put vivre cet évènement : il était décédé le 18 juin 1944 des suites de ses blessures pendant la Campagne d’Italie.
     
     
    Ainsi se perpétue cette tradition, associée au quotidien des Niçois et aux évènements de son histoire, infiniment tristes en ce jour.
     
     

    * Le traditionnel "coup de canon" à Nice : son histoire et sa résonance dans la Libération

     Armoiries de la ville de Nice et du comté de Nice.

     

     


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    * Décès de l’un des trois derniers compagnons de la Libération.  Pierre Simonet nous a quitté.

     

     

    Il avait rejoint les Forces françaises libres (FFL) en 1940 avant de combattre en Afrique du nord, de participer au débarquement en Provence et de participer à la libération de la France.

    Ce vétéran de Bir-Hakein et de la grande épopée de la 1ère DFL était toujours d'une grande modestie et gentillesse ....C'est donc une très grande tristesse d'apprendre par la famille que Pierre s'est éteint ce jeudi 05 /11/ 2020 après-midi dans son sommeil, auprès de ses enfants, à son domicile de Toulon. La Fondation de la France libre perd un de ses derniers vétérans de la Seconde guerre mondiale ayant rejoint très tôt le général de Gaulle.

     

     

    * Décès de l’un des trois derniers compagnons de la Libération.  Pierre Simonet nous a quitté.

    Pierre Simonet

    (photo ordre de la Libération) 

     La famille indiquera vendredi 06 novembre 2020 le lieu du recueillement à Toulon car Pierre sera inhumé dans le caveau familial, dans la Drôme.

     

    (Article Le Figaro avec AFP)

    Pierre Simonet, l'un des trois derniers compagnons de la Libération, est mort jeudi à l'âge de 99 ans, a annoncé l'Élysée. Emmanuel Macron a rendu hommage à «cet homme animé du souffle de la liberté qui, par-delà les risques et les frontières, fut toujours guidé par son immense amour de la France», a précisé la présidence dans un communiqué. Seuls deux compagnons de la Libération lui survivent - Daniel Cordier et Hubert Germain, tous deux centenaires -, sur les 1.038 distingués par le général de Gaulle pour leur engagement au sein de la France libre pendant l'Occupation allemande. Son décès fait suite à celui d'un autre compagnon, d'Edgard Tupët-Thomet, décédé le 9 septembre à l'âge de 100 ans. 

    Pierre Simonet est étudiant en mathématiques à Bordeaux quand, le 17 juin 1940, il entend à la radio l'annonce de la défaite française. L'appel du général de Gaulle, le lendemain, le convainc de le rejoindre. Le 24 juin, il embarque sur le dernier cargo qui, en rade de Saint-Jean-de-Luz, rapatrie les troupes polonaises et les résidents britanniques vers l'Angleterre. Arrivé à Liverpool, il s'engage dans les Forces françaises libres (FFL). Il voudrait choisir l'aviation, mais il n'a que 18 ans et cette arme ne recrute que des volontaires ayant déjà le brevet de pilote. Il est donc affecté, en raison de ses études de mathématiques, dans l'artillerie FFL en cours de création.

    Il est envoyé en Afrique et stationne avec son unité au Cameroun jusqu'en janvier 1941. Il part pour Damas où est formé le 1er régiment d'artillerie des FFL. Nommé brigadier, il est chargé de l'observation et des transmissions. Il prend part aux batailles de Bir-Hakeim, d'El Alamein et de Takrouna puis prend part, à partir d'avril 1944, à la campagne d'Italie. Il réalise son rêve de devenir aviateur: nommé «observateur sur avion léger», il prend place à bord de petits piperclub et survole les lignes ennemies pour collecter des renseignements. Il signale les emplacements des pièces d'artillerie et des chars allemands : «Pendant la campagne d'Alsace, du 7 janvier au 2 février 1945, il rend les services les plus précieux, faisant démolir plusieurs chars et repérant deux batteries», écrit l'Ordre de la libération dans sa biographie officielle. À l’issue de ces campagnes, «son compteur affichait 250 heures de vol et 137 missions de guerre, qui lui valurent 5 citations et sa désignation comme Compagnon de la Libération le 27 décembre 1945», selon l'Élysée.

    En piper sous la tour Eiffel

    Le 8 mai 1945, jour de la Victoire, les petits avions se posent sur le terrain d'Issy-les-Moulineaux. «Pour nous, les rebelles de la première heure, il fallait faire quelque chose qui sorte de l'ordinaire», raconte Pierre Simonet dans une interview en 2015. «Je suggère : et si on passait sous la tour Eiffel ?» «Le plan de vol est organisé: prendre en rase-mottes l'esplanade du Trocadéro, le pont d'Iéna, passer sous l'immense voûte de fer, survoler le champ de Mars et redresser sur l'école militaire. Il y a de la place à revendre», raconte-t-il. «Il y a peu de monde; un soldat américain tout étonné nous photographie en vol (...) Il fallait plus de culot que d'adresse, nous n'avions demandé la permission à aucune autorité.»

    Démobilisé, Pierre Simonet, né à Hanoï où son père était ingénieur des travaux publics, entre en 1946 à l'École nationale d'outre-mer, qui forme les administrateurs des possessions coloniales françaises. Il est affecté en Indochine, puis suit les cours de l'institut de statistique de Paris avant de partir au Cameroun, où il termine sa carrière comme administrateur de la région du Ntem. En 1958, il entre dans la fonction publique internationale : il est envoyé par l'organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) dans le bassin du Mékong. Il entre ensuite à l'ONU, qui l'envoie en 1959 et 1960 en Iran comme conseiller en statistiques économiques. Il entre ensuite à l'OCDE puis, en 1964, au Fonds monétaire international qui l'envoie en Haïti, au Salvador, aux Comores et au Lesotho avant de prendre sa retraite en 1985.

    Pour Emmanuel Macron, «Pierre Simonet était bien un héros: il avait beau refuser ce titre, il en possédait tous les attributs - le courage, la force morale, le sens du devoir»«Le pays tout entier se souviendra de son courage, de sa ténacité et de sa modestie», ont réagi la ministre des Armées Florence Parly et la ministre déléguée Geneviève Darrieussecq.

    Père des FFL, Charles De Gaulle avait créé l'Ordre de la Libération dès novembre 1940 pour «récompenser les personnes ou les collectivités militaires et civiles qui se seront signalées dans l'œuvre de libération de la France et son empire». L'Ordre est forclos en 1946. Quelque 1.038 personnes, dont six femmes, se verront attribuer le titre de compagnon de la Libération, ainsi que 18 unités militaires et cinq communes françaises: Nantes, Grenoble, Paris, le village martyr de Vassieux-en-Vercors et l'Île de Sein.

    L'un des deux derniers compagnons encore en vie, Daniel Cordier, qui a été secrétaire de Jean Moulin, a célébré son 100e anniversaire le 20 août. Emmanuel Macron lui avait alors téléphoné, le remerciant «pour l'exemple donné» durant la guerre et après. Hubert Germain, ancien légionnaire, est centenaire depuis le 6 août. Il est prévu que le dernier des compagnons qui décédera sera inhumé au Mont Valérien, le principal lieu d'exécution de résistants et d'otages par l'armée allemande durant la Seconde guerre mondiale. Charles de Gaulle y a inauguré en 1960 le Mémorial de la France combattante.

     

    * Décès de l’un des trois derniers compagnons de la Libération.  Pierre Simonet nous a quitté.

     

    " Nous fêtons aujourd'hui, mardi 27 octobre 2020, le quatre-vingt-dix-neuvième anniversaire de Pierre Simonet , Compagnon de la Libération 

    Pierre est en forme, c'est super. Je suis si heureuse de lui téléphoner et d'échanger avec lui. Nous parlons du bon vieux temps !!!! Bon courage pour souffler tes bougies ce soir, mais tu auras de l'aide. Gros bisous ! "

                                                       
                                                           ( Blandine Bongrand Saint Hillier)

     

     La Fondation B.M.24 Obenheim

    présente ses sincères condoléances à sa famille

     

    Fondation B.M.24 Obenheim 

    * Décès de l’un des trois derniers compagnons de la Libération.  Pierre Simonet nous a quitté.

     

     

     


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  • La Bataille du désert, racontée dans ce film des années 50 (ou 60) par trois témoins français, britannique et allemand, comporte des images édites de la Brigade française Libre.

     

     

    Quelques remarques sur le contenu : la 1ère Brigade de la DFL n'a pas inclus les hommes de Leclerc- images inédites fugaces de la campagne d'Erythrée de 41 en rappel - Images inédites du franchissement de la dépression de Qattara par le BM 11 - Important témoignage du commandant Jean Martinelli, Légionnaire de la 13 DBLE : les déplacements, l'eau, le vent de sable, la chaleur (excellente séquence sur l'omelette !), les mouches... Lily Marlène...

    Témoignage de Jean Simon, commandant de compagnie de la 13 DBLE à Bir Hakeim (compagnon de la Libération) - Images des fusiliers marins - El Alamein et la mort du Capitaine de Légion Amilakvari, raconté par Martinelli. 

     

     


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