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Par authion le 4 Juin 2015 à 13:50
Parution de la biographie d'Alexandre LOFI, Compagnon de la Libération, Ancien du 1er et du 2ème Bataillon de Fusiliers Marins puis du BFMC :
"Il fallait y croire..."
Présentation et extraits du livre de Denis Beau-Lofi (sa fille) Lien
Ouistreham : le souvenir du commandant Lofi (FR 3-Basse Normandie)
© France 3 Basse-Normandie Le commandant Lofi défile sur les Champs-Elysées à la libération
"Ce livre manquait, explique Léon Gautier qui en a signé la préface. Alex Lofi, c'était un homme extraordinaire ajoute celui qui fut son compagnon d'armes au sein du commando Kieffer. On ne peut pas retrouver deux Alex Lofi sur terre". Le titre de l'ouvrage que lui consacre sa fille résume à lui seul le personnage : "Il fallait y croire"...
Alexandre Lofi qui était instructeur à l'école navale de Brest fut de ceux qui n'acceptèrent pas l'armistice de juin 1940. Ij rejoint de Gaulle à Londres. Affecté au premier bataillon de Fusiliers Marins, il est envoyé au Cameroun. Puis il prend part à la défense des côtes du Liban avec le deuxième bataillon de Fusiliers Marins en 1941 et 1942. Un an plus tard, il se porte volontaire pour intégrer le commando dirigé par Philippe Kieffer qui s'entraîne en Ecosse dans la perspective du débarquement allié.
Le 6 juin 1944, il foule le sable de la plage de Colleville-Montgommery à la tête d'une compagnie avec laquelle il participe à la libération du casino de Ouistreham. La biographie officielle de la chancellerie de l'ordre de la Libération précise : "Le commandant étant blessé, il prend le commandement du bataillon et démontre des qualités exceptionnelles de sang-froid et un jugement sans défaillance. Il dirige le Bataillon les semaines suivantes lors de la défense des ponts de l'Orne.
Le 20 août 1944, dans le secteur de l'Epine, au cours d'une attaque de nuit, il prépare et dirige sa compagnie dans l'assaut d'une très forte position de mortiers ennemis et est blessé par éclats de grenade au cours de l'opération. La ligne de défense de l'adversaire est désorganisée, et sous son commandement, tous les mortiers et de nombreux prisonniers sont capturés."Voir la VIDEO sur le site de FRANCE 3
Entretien avec l'auteur, Denise Beau-Lofi :
Biographie de l'Ordre de la Libération Lien
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Par authion le 4 Juin 2015 à 13:24
Voici une belle occasion de découvertes, de rencontres et d'échanges autour des Mémoires de l'Authion... une belle opportunité également pour certains des rédacteurs du Blog d'enfin rencontrer nos partenaires Jean-Michel Sivirine et Pascal Diana (association AMONT), de parcourir et de clôturer dans l'amitié ce "bout de chemin " de l'Authion que nous avons fait ensemble dans le cadre du parcours France de la D.F.L...
A suivre !
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Par authion le 4 Juin 2015 à 12:24
De la part de Monsieur Jean-Philippe STRAUEL :
Télécharger « Programme_26&27&28 juin_2015.pdf »
Télécharger « PDF-Page_33-edition-de-colmar-ried_20150120.pdf »
Retrouvez nos informations sur la D.F.L. dans les combats de Grussenheim :
Article sur les commémorations de Grussenheim en Janvier 2015 LIEN
Article Etape sur la Libération de Grussenheim 1ere DFL-2e DB LIEN
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Par authion le 4 Juin 2015 à 11:56
Les documents nous sont communiqués par le fils de Nicolas RINGLE, Christian RINGLE. Avec nos remerciements.
Si le Blog Divisionfrancaiselibre a eu pour objet de relater le parcours de la Libération du territoire national entre 1944-1945, il a également permis à certains descendants de faire connaître le parcours de leur père, et le cas échéant, de compléter l'Annuaire des Anciens de leurs noms.
Le sergent chef Nicolas RINGLE s'était engagé au 1er Bataillon d'Infanterie de Marine dès juin 1940. Son nom figure bien dans la liste des Français Libres, mais... au titre de la "Résistance".
Ceci explique peut-être en partie, mais en partie seulement, pourquoi son nom ne figurait pas dans l'Annuaire de la D.F.L. Cette anomalie vient d'être corrigée...
Nicolas RINGLE participa à la Bataille de Bir Hakeim où il "fêta" ses 25 ans le 7 juin 1942 sous les bombes...
Le sergent-chef RINGLE est cité à plusieurs reprises dans le récit de la Bataille d'Herbsheim par le commandant Constant ROUDAUT (opérations du 7 Janvier 1945) Lien
Beyrouth, juin 1940
Visible également dans l'Album du BIM Lien
Citation lors de la Campagne d'Italie au Garigliano
6 commentaires -
Par authion le 2 Juin 2015 à 09:14
"Eléments de langage pour la remise de la Légion d'Honneur, le 8 Mai 2015
Texte communiqué par M. LUCIANI
L’hommage de la Nation à la génération de la guerre
· Alors que nous assistons à la fin du 70e anniversaire de la libération du territoire et de la victoire de la liberté, il est important que la France rende un hommage solennel à une génération en train de s’éteindre (c’est la spécificité de cet anniversaire décennal, le dernier pouvant encore s’appuyer sur une « mémoire vivante ») ;
· Cette remise de décoration traduit l’hommage que la Nation doit à toute la génération de la guerre, dans sa diversité : combattants, résistants, déportés, réfractaires au STO, prisonniers, « malgré-nous », Justes parmi les nations ;
· En s’engageant avec courage et humilité, en témoignant au lendemain de la guerre, ces femmes et ces hommes sont devenus des symboles ;
Faire vivre cette mémoire sur l’ensemble du territoire
· Le 8 mai, dans un temps dédié à la transmission de la mémoire, le président de la République réunit à l’Elysée des survivants de la guerre et les lauréats du Concours National de la Résistance et de la Déportation. Le Secrétaire d’Etat, chargé des anciens combattants et de la mémoire, remet une vingtaine de légions d’honneur aux Invalides ;
· Les cérémonies dans les départements sont une déclinaison de l’hommage rendu par le président de la République et le Gouvernement. La guerre ayant touché tous les territoires français, pas une région ne doit être exclue de ces commémorations ;
· C’est l’occasion de rappeler que la mémoire nationale est présente partout en France et se décline en milliers d’histoires et de parcours singuliers : tous les décorés du 8 mai sont les visages de la mémoire nationale ;
Cet hommage se veut un moment de transmission intergénérationnelle
· Transmission entre les générations combattantes - Rendre hommage aux anciens, c’est encourager les nouveaux combattants, qui marchent dans les pas de leurs aînés et continuent de s’engager pour et au nom de la France et de défendre, partout dans le monde, la liberté et le respect de la dignité humaine ;
· Transmission à la jeune génération - A l’heure où la jeunesse doute de son identité, de ses capacités, de ses atouts et de son avenir, il est important que des femmes et des hommes soient élevés en modèles pour rappeler comment, par le passé, les Françaises et les Français, malgré leurs différences (sociales, géographiques, culturelles) ont su se rassembler autour du socle républicain.
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