• Marie -Hélène Châtel a participé aux 79e anniversaire de l’Appel du 18 Juin 1940 à Colombey. Marie-Hélène a pris des fonctions au sein de la Fondation de la France Libre en tant que représentante de la 1ère DFL récemment dissoute pour intégrer la FFL.

    * Marie-Hélène Châtel représentante de la 1 DFL au sien de la Fondation de la France Libre

    * Marie-Hélène Châtel représentante de la 1 DFL au sien de la Fondation de la France Libre

     

    * Marie-Hélène Châtel représentante de la 1 DFL au sien de la Fondation de la France Libre

    (Photo : Fondation de la France Libre)


    Dancevoir n’oublie pas le
    commando Lardennois

     

    * Marie-Hélène Châtel représentante de la 1 DFL au sien de la Fondation de la France Libre

    le commando Lardennois
     (Badge N° 137)

     Soixante-quinze ans après le débarquement de Normandie, le village de Dancevoir a rendu hommage à l'un de ses anciens concitoyens, François Voirin. Sous le nom d'Abel Lardennois, ce Lorrain d'origine, décédé à Chaumont, a participé aux opérations du Jour J comme sous-officier au sein du célèbre commando Kieffer. Une plaque en mairie rappelle son souvenir. Jeudi 6 juin, plusieurs Dancevoiriens, dont des citoyens britanniques et M. Vauthelin, ancien marin, ont assisté à un hommage organisé dans la commune. A cette occasion, Josette Demangeot, maire, et Marie-Hélène Châtel, au nom de la Fondation de la France libre, de la Fédération des associations d'anciens marins (Fammac) et des fusiliers-marins, ont évoqué la vie de François Voirin.

    Abel LARDENNOIS, nom de guerre François Marie Jean VOIRIN

     

     

    * Marie-Hélène Châtel représentante de la 1 DFL au sien de la Fondation de la France Libre

    (Photos : Biographie de Fusiliers marins et Commandos)

     

     

    Fondation B.M.24 Obenheim        

    * Marie-Hélène Châtel représentante de la 1 DFL au sien de la Fondation de la France Libre

     

     


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  • Vous trouverez ci-joint quelques unes des photos de ma collection. Je vous envoie principalement des membres de cette unité que peut-être quelqu'un pourra identifier, je l'espère. 


                                                            (Laurent Fournier)

     

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    L’insigne du 1er Régiment d’Artillerie fut dessiné au quartier Soudier à Damas par le commandant Laurent-Champrosay puis peint et numéroté, il fut réalisé à très peu d’exemplaires dans cette même ville à la fin de 1941. Il représentait le symbole de l’artillerie coloniale (canon et ancre de marine) sur un fond rouge et bleu, couleur de l’artillerie. Le motif central était garni de deux épées croisées, symbole de l’épée de Jeanne d’Arc, et dont la garde formait une croix de Lorraine, ce qui semble avoir été une idée du Commandant Laurent-Champrosay lui même. Sur ce premier modèle, l’emblème était non pas sur un fond doré mais argenté. Un second type émaillé cette fois, fut frappé après Bir Hakeim, mais chez un fabricant du Caire en 1942. Au début de 1945, on voulut une nouvelle provision d’insignes, mais la commande passée chez Drago fut mal précisée et cette dernière maison livra un insigne non plus carré mais rectangulaire, où l’épée était devenue méconnaissable.

    (Les Français Libres et leurs emblèmes, B. Le Marec, Ed. Lavauzelle.)

     Extrait  "Amicale de la 1ere DFL"

      

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier) 

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier) 

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)


    Rajout de trois photos 
     

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier) 

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

     (Crédit photos : Laurent Fournier)

     

    D’AOUT 1940 A L’ERYTHREE

    Dès le mois d’août 1940, un corps expéditionnaire est constitué en Angleterre.

    L’artillerie fournit une section de deux canons de 75 avec personnel, commandée par le lieutenant QUIROT et l’aspirant PETITJEAN , une batterie de quatre canons de 75 avec quelques hommes commandée par le lieutenant CHAVANAC , le complément de personnel devant être trouvé en Afrique noire. Le matériel, canons et tracteurs, est français et revient de Norvège.

    Le personnel se compose de gradés d’active ou de réserve, de trois ou quatre cannoniers ayant déjà fait du service et d’une cinquantaine de jeunes recrues, étudiants, agriculteurs, employés, qui se sont échappés de France.

    L’aîné le cannonier PAULET , 48 ans, licencié es sciences a cinq enfants : il sera un père pour tous ces jeunes recrue et guidera leurs premiers pas dans la vie militaire en leur donnant à chaque instant l’exemple d’une valeur morale exceptionnelle. Le benjamin, SYLVA à 16 ans. Tous deux trouveront la mort sur le bateau Nino Bixio qui les emmenait en captivité après Bir-Hacheim.

     

    La suite du texte sur le site de l'Amicale de la 1ere DFL

     

     

     

    Fondation B.M.24 Obenheim        

    * Trésors d'archives - 1er RA FFL - 5ème Batterie.  (Collection Laurent Fournier)

     

     

     


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  • Nous avons la tristesse de vous annoncer le décès d'Antoine MANISCALCO le Dimanche 16 juin 2019.

    Antoine Maniscalco s'était engagé à la 1ère DFL en Mai 1943 en Tunisie.

    Il fut  porte-drapeau national de l'Amicale de la 1ère DFL depuis 1990 et commissaire de la Flamme à l'Arc de triomphe en 2004.

    Nous adressons toutes nos condoléances et notre sympathie à son épouse Marie-Thérése et à son neveu Philippe Castor.

     

    En souvenir d'Antoine, ces quelques photographies prises en 2012 à Paris...

     

    * Décès de Antoine MANISCALCO (1ère DFL,

     Antoine Maniscalco (CP : F. Roumeguère)

    Extrait de ses mémoires publié sur le site de l'Amicale de la 1ère DFL :

    "Je suis donc arrivé à la 1ère DFL , mais ils me croyaient trop jeune, car je n’étais pas très costaud, alors ils m’ont fichu dehors ! !

    J’ai attendu mon père, qui connaissait un commissaire, nous sommes allés voir le Capitaine Huette, de la DFL, le commissaire à présenté le registre des naissances pour prouver que j’avais bien l’âge requis.

    Et le lendemain matin je partais à Kairouan (mai 43) ; puis en camion, en longeant la côte j’arrive en tripolitaine, au bout de 3 jours.

    Là je rentre dans l’instruction divisionnaire et comme j’avais été chez les scouts on se donnait les positons des uns et des autres, à coups de sifflet en morse. Je retrouve mon ancien chef scout : le Lieutenant Talavera.

    Premiers entrainements, 40 kms, ou je prends le sac d’un camarade, qui n’en pouvait plus.

    Ici je rencontre pour la 1ère fois Saint Hillier qui était capitaine !

    Là je leur prouve que je sais faire du morse, avec un autre camarade on s’échange des phrases au sifflet.

    Nous sommes automatiquement mis dans un régiment de transmissions, commandé par l’adjudant Leroy, qui nous apprend à nous servir des manipulateurs.

    Je sors premier du bataillon.

    Bien sûr nous ne faisions que du morse et, de se servir des postes radios. A la sortie de l’instruction, je voulais aller dans les paras, me battre, quoi !

    Je signale que ma famille était d’accord avec mon engagement.

    Une parenthèse ; mon père qui était à la CFT, était parti de Tunisie pour l’Algérie avec des locos, pour que les Allemands ne puissent avoir ce matériel.

    L’entrainement à la DFL à duré tout l’hiver 43/44

    Je suis ensuite détaché au BIM, Lieutenant Malfette, puis à la 4e brigade (Colonel Raynal) ou j’étais son radio, jusqu’au débarquement à Cavalaire". (...)

    Extrait du site de l'Amicale de la 1ère DFL

     

    * Décès de Antoine MANISCALCO (1ère DFL,

    Marius Olive, Blandine Bongrand, Antoine Maniscalco

     

    * Décès de Antoine MANISCALCO (1ère DFL,

    Antoine Maniscalco avec le regretté Marcel Gabriel (1er RA)


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    * Une rue Albert SAVARY (Compagnon de la Libération, 1ère Cie de Chars, BIMP) inaugurée au Faoüet

    Crédit photo Ordre de la Libération

     

    La municipalité va attribuer l’appellation de « rue Albert-Savary, Compagnon de la Libération » à une voie actuellement sans nom, menant à l’école de musique. Elle sera inaugurée mardi 18 juin.

    Albert Savary est né le 29 mai 1921, à Auray. Au Faouët où il réside, il entend la radio de Londres, l’Appel du général de Gaulle du 18 juin 1940. Il rejoint Plymouth avec trois Bretons et deux Anglais. Engagé à 19 ans, dans les Forces françaises libres, il est envoyé en Afrique équatoriale (AEF) et participe à la campagne de ralliement de la colonie à la Résistance. Il a servi en Afrique, puis dans les Vosges et enfin en Indochine. Albert Savary est décédé le 9 janvier 1975, à Auckland, en Nouvelle-Zélande. Il est inhumé au cimetière du Faouët. Il a été nommé Compagnon de la Libération.

    Mardi 18 juin, rendez-vous à 17 h, au cimetière, avec dépôt de gerbe. Puis à l’entrée de la rue Albert-Savary pour le dévoilement de la plaque.

    Une exposition sur la France Libre se tiendra pendant une semaine à la mairie.

     

    * 18 juin 2019 : une rue Albert SAVARY (Compagnon de la Libération, 1ère Cie de Chars, BIMP) inaugurée au Faoüet

     Crédit photo Ouest France

    OUEST FRANCE Lien

     

    SA BIOGRAPHIE :

    Fils d'ajusteur, Albert Savary est né le 29 mai 1921 à Auray dans le Morbihan.

    Au Faouët où il réside, il entend à la radio de Londres l'appel du général de Gaulle du 18 juin 1940 et ses deux discours suivants.

    Le 24 juin, avec un camarade, il décide de rejoindre l'Angleterre. Après plusieurs jours d'errance en Bretagne pour trouver un moyen d'embarquer, ils achètent une barque de pêcheur près de Trégastel sur la côte nord.

    Rejoints par trois jeunes bretons et deux soldats britanniques, les sept hommes embarquent de nuit, le 2 juillet 1940 et, grâce à un petit moteur auxiliaire, parviennent quelques heures plus tard à Plymouth.

    Arrivé à Londres, Albert Savary s'engage dans les Forces françaises libres. Dirigé sur l'Afrique équatoriale française, il participe à l'opération de Dakar et débarque le 8 septembre au Cameroun. En novembre, il prend part à la campagne de ralliement du Gabon dans les rangs de la 1ère Compagnie de chars des FFL.

    En 1941, il suit les cours du centre d'instruction des aspirants au camp Colonna d'Ornano à Brazzaville. A sa sortie en juillet 1941, il est affecté pour quelques semaines au Bataillon mixte n°6 puis, à Yaoundé, à la 3e compagnie du 1er Régiment de Tirailleurs du Cameroun. Il est promu sous-lieutenant en mars 1942.

    En décembre 1942, il rejoint les rangs du Bataillon de marche n° 9 (BM 9) et suit pendant deux ans le sort de cette unité comme chef de section de Brenn-carriers. Parti du Cameroun en décembre 1942 avec son bataillon, il atteint le Levant en octobre 1943 après avoir séjourné trois mois à Khartoum et six mois à Djibouti. Le BM 9 est chargé de missions de souveraineté peu exaltantes et, animé du désir de se battre, Albert Savary obtient d'être affecté au Bataillon d'infanterie de marine et du Pacifique (BIMP).

    Promu lieutenant entre-temps, il rejoint sa nouvelle unité sur le front des Vosges en novembre 1944.

    Le 8 janvier 1945, Albert Savary effectue avec sa section une forte patrouille appuyée de chars dans les bois à l'Ouest de Rossfeld contribuant au déblocage de cette position. Le 11 janvier, il est blessé par des éclats d'obus au cours d'une contre attaque de chars alors qu'il participe brillamment aux opérations de Benfeld. A peine guéri, il rejoint son bataillon dans les Alpes.

    Le 10 avril, pendant l'attaque de la Maison du Câble, il parvient en tête de ses hommes jusqu'aux barbelés défendant les abords immédiats de la position. Il est alors une nouvelle fois blessé, par des éclats de grenade à la face et par une balle reçue dans la poitrine. Il termine la guerre avec une citation à l'ordre de la Division et la croix de la Légion d'Honneur.

    En 1946 et 1947, il occupe le poste d'aide de camp du général gouverneur militaire de Paris et est promu capitaine.

    De 1948 à 1950, il est en poste en AEF avant de passer, en 1951, au 1er RIC et d'y créer une compagnie de mortiers lourds.

    En 1953, Albert Savary est désigné pour l'Indochine et est affecté au Bataillon de Marche du 21e RIC ; il y reçoit deux nouvelles citations.

    En 1957, il est chef de cabinet du général commandant la 8e DI puis, en 1959-1960, chef de cabinet du général directeur des Affaires d'Outre Mer et promu au grade de chef de bataillon.

    De 1961 à 1964, il commande le BIMP en Nouvelle-Calédonie puis rentre en France en qualité d'adjoint au colonel chef d'Etat-major de la Place de Paris.

    Nommé lieutenant-colonel en janvier 1966, Albert Savary fait valoir ses droits à la retraite et se retire à Nouméa.

    Albert Savary est décédé le 9 janvier 1975 à Auckland en Nouvelle-Zélande. Il est inhumé au Faouët dans le Morbihan.


    • Officier de la Légion d'Honneur 
    • Compagnon de la Libération - décret du 27 décembre 1945
    • Croix de Guerre 39/45 (2 citations)
    • Croix de Guerre des TOE (2 citations)
    • Médaille de la Résistance
    • Médaille des Evadés
    • Médaille Coloniale avec agrafe "AFL", "E-O"
    • Croix du Combattant 39/45 
    • Croix du Combattant Volontaire 39/45 
    • Croix du Combattant Volontaire de la Résistance 39/45 
    • Médaille des Services Volontaires dans la France Libre
    • Médaille Commémorative 39-45 
    • Médaille Commémorative d'Extrême-Orient
    • Médaille Commémorative d'Indochine
    • Commandeur de l'Etoile Noire (Bénin)
    • Croix de la Vaillance (Vietnam)

    Biographie de Albert SAVARY sur le site de l'Ordre de la Libération


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  • * Hommage aux 176 Commandos du 1er BFMC ayant participé au débarquement du 6 juin 1944 sous les ordres de Philippe Kieffer

     

    Cimetière de Sarralbe  (Moselle)

    Alors qu’en Normandie on célébrait le 75e  anniversaire du débarquement, l’Ama de Sarralbe, Sarreguemines et environs a souhaité rendre un hommage particulier à un enfant de Sarralbe ayant participé avec le Commando Kieffer au débarquement du 6 juin 1944. À l’initiative du président Marcel Weber, une délégation d’une douzaine de personnes a rendu hommage à Armand Jung, fusilier commando de la France Libre, Marine Londres, 1er  BFM, qui, avec les 177 hommes du commando Kieffer, faisant partie de la 8e  brigade et de la 3e  division d’infanterie britannique, débarqua sur Swords Beach à Colleville-Montgomery. « Armand, avec le capitaine de Corvette Kieffer et le capitaine Alexandre Lofi, étaient les seuls Lorrains à fouler le sol français ce jour-là, après plus d’un an d’entraînement en Écosse avec les fameux Bérets Verts des commandos britanniques », a fait savoir le président.  (Texte journal RL)

    Nous devons avoir une pensée pour tous les hommes du commando qui ont débarqué en 1er avec les alliés sur les plages de Normandie.

    * Hommage aux 176 Commandos du 1er BFMC ayant participé au débarquement du 6 juin 1944 sous les ordres de Philippe Kieffer

    Armand JUNG

     

     

    * Hommage aux 176 Commandos du 1er BFMC ayant participé au débarquement du 6 juin 1944 sous les ordres de Philippe Kieffer

    Tombe d'Armand JUNG (Badge N° 100) au cimetière de Sarralbe

    (Photo Jm Pefferkorn) 

    * Hommage aux 177 Commandos du 1er BFMC ayant participé au débarquement du 6 juin 1944 sous les ordres de Philippe Kieffer

    Une délégation d’une douzaine de personnes a rendu hommage
    à Armand Jung

    (Photo Républicain Lorrain) 

     


    Fondation B.M.24 Obenheim    

    * Hommage aux 176 Commandos du 1er BFMC ayant participé au débarquement du 6 juin 1944 sous les ordres de Philippe Kieffer

     

     

     


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